Il n'existe pas d'horloge ou temps dans cette espace ou l'oubli et la patience sont sentinels fidels.
Les jours et nuits dansent leur ombres et lumieres avec une cadence d'espoir et passion.
C'est quoi le manque de l'absence?
Je te cherche parmi les etoiles et le parfum des fleurs,
j'entends tes pas dans l'herbe de tes montagnes, si loin, si silencieux.
La chaleur et la poussiere me suivent dans mon sommeil,
et je me promene dans tes deserts, Diogenes sans chemin ou reve.
La route devient un circle dans ma tete, ma robe bleue une chimere
dans la lumiere et le soif.
C'est quoi le manque de l'absence?
Il etait une fois ma famille, qui dort au cieux maintenant,
et toi qui voyages invisible, silencieux comme les nuages furtives chez toi.
Trudi Ralston.
pour la photographie de D.D. et pour la memoire de mon pere.
" The long and winding road, that leads, to your door
Will never disappear. I've seen that road before "...
Paul McCarthney and John Lennon, !970, de l'album
" Let It Be ".
Tuesday, August 29, 2017
Wednesday, August 23, 2017
Reverie Estivale
Un vent doux sud- ouest, lourd avec le parfum chaud des fleurs de fin d'aout,
un soleil aux couleurs un peu fade, et un ciel qui se cache parmis des nuages fragiles.
L'ete commence a s'endormir, fatiguee de ses efforts de peindre des palettes brilliantes
tous ces mois de joie et exuberance dans la nature.
Les abeilles portent leurs manteaux de pollen comme des demoiselles gourmandes
et les papillons dansent leurs derniers pas de deux cambriolants.
L'ete s'enfuit, tout doucement, pour ne pas nous effrayer avec le passage du temps.
Les feuilles tombent jaunes et secs des arbres, une chanson melancholique et poussiereuse.
Les matins on met un petit pullover, pour eviter le frisson de l'aube brumeux,
et le the ou cafe chaud nous rassurent que l'automne sera agreable aussi,
pendant qu'on cherche a comprendre cette tristesse qui se balance dans nos coeurs
comme une melodie brisee en des milliers de pieces, qui s'envolent comme des oiseaux timides.
Toutes les personnes qu'on aime, qu'on a jamais aime, et qu'on aimera un jour, toutes se paradent
dans cette reverie estivale, comme une blessure douce et amere a la fois.
Quant au temps qui passe, quant a nos vies ephimeres, on ne comprend rien et c'est ca qui fait mal.
Les etes viennent et s'envont, comme nos reves et espoirs, le temps c'est une machine qui mange tout de nous a la fin.
Mais c'est beau, ces fleurs estivales, dans leurs couleurs brilliantes, et leur parfum seduisant,
et c'est si beau d'aimer encore, de sentir le vent du sud dans notre haleine, et de chanter, et d'etre
reconnaissant d'une autre ete, forte et belle, et pleine de vie et beaute, pour autant que ca dure,
toute cette energie et joie, du soleil et de la terre, qui nous rendent le coeur et l'ame innocents a chacque fois.
Trudi Ralston.
un soleil aux couleurs un peu fade, et un ciel qui se cache parmis des nuages fragiles.
L'ete commence a s'endormir, fatiguee de ses efforts de peindre des palettes brilliantes
tous ces mois de joie et exuberance dans la nature.
Les abeilles portent leurs manteaux de pollen comme des demoiselles gourmandes
et les papillons dansent leurs derniers pas de deux cambriolants.
L'ete s'enfuit, tout doucement, pour ne pas nous effrayer avec le passage du temps.
Les feuilles tombent jaunes et secs des arbres, une chanson melancholique et poussiereuse.
Les matins on met un petit pullover, pour eviter le frisson de l'aube brumeux,
et le the ou cafe chaud nous rassurent que l'automne sera agreable aussi,
pendant qu'on cherche a comprendre cette tristesse qui se balance dans nos coeurs
comme une melodie brisee en des milliers de pieces, qui s'envolent comme des oiseaux timides.
Toutes les personnes qu'on aime, qu'on a jamais aime, et qu'on aimera un jour, toutes se paradent
dans cette reverie estivale, comme une blessure douce et amere a la fois.
Quant au temps qui passe, quant a nos vies ephimeres, on ne comprend rien et c'est ca qui fait mal.
Les etes viennent et s'envont, comme nos reves et espoirs, le temps c'est une machine qui mange tout de nous a la fin.
Mais c'est beau, ces fleurs estivales, dans leurs couleurs brilliantes, et leur parfum seduisant,
et c'est si beau d'aimer encore, de sentir le vent du sud dans notre haleine, et de chanter, et d'etre
reconnaissant d'une autre ete, forte et belle, et pleine de vie et beaute, pour autant que ca dure,
toute cette energie et joie, du soleil et de la terre, qui nous rendent le coeur et l'ame innocents a chacque fois.
Trudi Ralston.
Tuesday, August 22, 2017
Maitrise en Contraste dans la Photographie de Djamil Diboune
Comme est souvent le cas avec les albums de photos de Djamil Diboune, on a envie de revisiter leur paysages et richesse. L'album du 21 aout n'est pas une exception. Il y a deux photos dans la serie de trente auxquelles je retourne parceque mes yeux veulent les comprendre et apprecier completement.
Les photos 25 et 26 sont d'une qualite qu'on reve voir dans une gallerie. La vingt- cinqieme photo est une montagne qui sort lentement de la brume. Il ya une couleur pale dans tout le tableau qui domine la texture et nuances des rochers de la montagne et qui rappelle les maitres de la Renaissance italienne, comme si la photo etait faite par Leonardo da Vinci qui a su se transporter dans la technologie du 21 siecle. Il y a une atmosphere spirituelle qu'evoque la presence de la montagne et un silence palpable que sait creer l'oeil d'artiste perfectionniste du photographe algerien. On s'imagine a la gallerie restant debout, transfixe devant ce tableau superieur. Si les yeux humains sont capable de l'extase, voila la preuve necessaire pour me convaincre.
La vingt-sixieme photo aussi est une photo hors de categorie pour sa beaute et maitrise technique.
Elle montre une lumiere doree qui penetre les nuages pour reveler une vallee dans les presque tenebres, et c'est un tableau qui impressionne pour la facon ou la lumiere sait se manifester lentement malgre l'obscurite autour. Le contraste avec la photo de la montagne est merveilleuse, et je ne pouvais qu'observer que c'etait comme une peinture a l' huile du maitre dans le clair-obscur, Leonardo da Vinci. Quelle maitrise nous partage le photographe de Bejaia, Aokas.
La passion disciplinee de Djamil Diboune est rare et precieuse dans un monde qui est toujours presse et impatient. Ces deux photos en soi sont raison sufficiente pour rever et esperer qu'un jour on verra les albums du photographe berbere dans des galleries pourque les generations suivantes n'oublient jamais ses voyages a la decouverte du tresor qu'est la nature en Algerie.
Je suis reconnaissante pour l'encouragement de Aokas Bejaia Tourisme et l'amitie de Chamy Esp de Mer, Montagne, Nature quant aux mes efforts pour partager le plus possible le talent de Djamil Diboune.
Les photos 25 et 26 sont d'une qualite qu'on reve voir dans une gallerie. La vingt- cinqieme photo est une montagne qui sort lentement de la brume. Il ya une couleur pale dans tout le tableau qui domine la texture et nuances des rochers de la montagne et qui rappelle les maitres de la Renaissance italienne, comme si la photo etait faite par Leonardo da Vinci qui a su se transporter dans la technologie du 21 siecle. Il y a une atmosphere spirituelle qu'evoque la presence de la montagne et un silence palpable que sait creer l'oeil d'artiste perfectionniste du photographe algerien. On s'imagine a la gallerie restant debout, transfixe devant ce tableau superieur. Si les yeux humains sont capable de l'extase, voila la preuve necessaire pour me convaincre.
La vingt-sixieme photo aussi est une photo hors de categorie pour sa beaute et maitrise technique.
Elle montre une lumiere doree qui penetre les nuages pour reveler une vallee dans les presque tenebres, et c'est un tableau qui impressionne pour la facon ou la lumiere sait se manifester lentement malgre l'obscurite autour. Le contraste avec la photo de la montagne est merveilleuse, et je ne pouvais qu'observer que c'etait comme une peinture a l' huile du maitre dans le clair-obscur, Leonardo da Vinci. Quelle maitrise nous partage le photographe de Bejaia, Aokas.
La passion disciplinee de Djamil Diboune est rare et precieuse dans un monde qui est toujours presse et impatient. Ces deux photos en soi sont raison sufficiente pour rever et esperer qu'un jour on verra les albums du photographe berbere dans des galleries pourque les generations suivantes n'oublient jamais ses voyages a la decouverte du tresor qu'est la nature en Algerie.
Je suis reconnaissante pour l'encouragement de Aokas Bejaia Tourisme et l'amitie de Chamy Esp de Mer, Montagne, Nature quant aux mes efforts pour partager le plus possible le talent de Djamil Diboune.
Monday, August 21, 2017
Djamil Diboune : Une Saison en Paradis
On pense parfois que ce n'est pas important quand on peut dire, dans le monde des arts, et voila, je reconnais ce style, c'est tel artiste. C'est pourtant bien important. Avoir la capacite de rendre des pieces d'art qu'on reconnait signifie que l'artiste est une personne qui a une signature unique qui est tout a fait la sienne, et cela lui rend unique, ce qui veut dire ce que cet artiste nous donne, est unique aussi. Djamil Diboune est un tel artiste avec son camera. Ses photos, comme l'album d'aujourd'hui, le 21 aout, sont encore temoins de son art unique, et apres avoir passe l'ete avec la beaute de ses creations, je me sens dans la presence d'un photographe d'un talent qu'il faut noter avec insistance. Ses photos des montagnes surtout, de sa region natale en Algerie, ont un pouvoir emotif et esthethique puissants. Tout dans son art parle de discipline, de patience, d'un oeil precis et d'une vision poetique qui parle sans mots d'un monde pur et encore frais quant a la nature. Avec son camera Djamil Diboune introduit la beaute sans egal de la nature de son pays. La photographie est un art important surtout dans une epoque comme on vit maintenant, ou souvent on est inondee d'images negatives, et conditiones de juger sans pensee ou question. La beaute que nous montre le photographe d'Aokas est de l'oxygene pour l'ame et le coeur. J'anticipe toujours ses albums superbes en qualite et beaute pour l'espoir de leur presence. Ses photos sont des peintures precieuses, les couleurs, les precisions dans les lignes, les nuances d'ombre et lumiere, et l'innocence si bienvenue d'une nature intacte et majestueuse, que je reve d'explorer et connaitre.
On ne peut pas nier qu'on vit dans un monde complique et frustrant, et on peut biensur toujours trouver des choses pour se plaindre, surtout sur le plan politique, n'importe ou on vit ces jours ci.
Ce que j'aime des photos de Djamil Diboune, c'est qu'il nous montre ce qui reste de beau sur cette terre, ce qui nous entoure, ce qui vaut la peine de voir, de connaitre, de vivre, et peut-etre cette experience nous donnera le courage d'affronter ce qui existe comme problemes dans notre vie, nos communautes. Quand je me promene parmi les photos de l'artiste, je me sens ailleurs, loin de toute preocupation, je me sens bien, relaxe. Cette ete parmi ses photos et leur univers restera avec moi comme une saison en paradis. La, le temps s'arrete, ce qui est important se montre plus clairement, l'ame et le coeur se sentent rajeunis et plus forts, et la vie retrouve son objectif le plus important : le bonheur et la paix, pour soi -meme et tous autour de nous. Comme un troubadour, Djamil Diboune chante des melodies avec sa photographie, et c'est une symphonie joyeuse et energique qui coule comme l'eau claire dans ses rivieres et chutes, et qui nous rafraichissent l'esprit et le corps. Une saison en paradis, eblouissant, inegal, comme un beau reve rassurant.
" La beaute est un image qu'on voit, meme avec les yeux fermes,
et une chanson qu'on entend, meme avec les oreilles sourdes."
Kahlil Gibran, Le Prophete ( 1923).
On ne peut pas nier qu'on vit dans un monde complique et frustrant, et on peut biensur toujours trouver des choses pour se plaindre, surtout sur le plan politique, n'importe ou on vit ces jours ci.
Ce que j'aime des photos de Djamil Diboune, c'est qu'il nous montre ce qui reste de beau sur cette terre, ce qui nous entoure, ce qui vaut la peine de voir, de connaitre, de vivre, et peut-etre cette experience nous donnera le courage d'affronter ce qui existe comme problemes dans notre vie, nos communautes. Quand je me promene parmi les photos de l'artiste, je me sens ailleurs, loin de toute preocupation, je me sens bien, relaxe. Cette ete parmi ses photos et leur univers restera avec moi comme une saison en paradis. La, le temps s'arrete, ce qui est important se montre plus clairement, l'ame et le coeur se sentent rajeunis et plus forts, et la vie retrouve son objectif le plus important : le bonheur et la paix, pour soi -meme et tous autour de nous. Comme un troubadour, Djamil Diboune chante des melodies avec sa photographie, et c'est une symphonie joyeuse et energique qui coule comme l'eau claire dans ses rivieres et chutes, et qui nous rafraichissent l'esprit et le corps. Une saison en paradis, eblouissant, inegal, comme un beau reve rassurant.
" La beaute est un image qu'on voit, meme avec les yeux fermes,
et une chanson qu'on entend, meme avec les oreilles sourdes."
Kahlil Gibran, Le Prophete ( 1923).
Thursday, August 17, 2017
Il Etait Une Fois
Dans des forets lointaines, que moi jusqu'ici je vois qu'en mes reves,
tu te promenes et vois toute la beaute avec ton ame et coeur,
et comme un troubadour, quand tu parles, c'est une chanson belle chacque fois.
Le coeur a ses mysteres et ses voyages, qui le rendent ou heureux ou triste,
et toi le troubadour a mis ta fleche comme un chasseur precis et je ne sais pas voulu m'echapper,
comme sous un sortilege seduisant, je me suis perdu dans la brume de tes yeux.
C'est inutile de resister, l'enfant blessee il y a si longtemps me suit comme une ombre,
cherchant le chemin de retour a l'innocence, et toi, l'etranger silencieux et curieux,
ne comprend pas ce que je veux de toi : une promenade sous les etoiles et un matin d'eau claire,
ton sourire que ce ne fut qu'une fois, et ta main dans la mienne sur la route des montagnes et rivieres.
Une chance de reparer le passe, d'aimer sans peur ou gene pour un beau moment,
et de partir, fiere et guerrie, avec le parfum des fleurs et la chanson des oiseaux de chez toi
dans ma poche, et quelques beaux petits cailloux le poids desquels me rappelleraient qu'effectivement
avec ta patience et tolerance,
j'ai retrouve un peu le pays perdu de mon adolescence.
Trudi Ralston.
"... Ma jeunesse fou le camp, comme un aire de guitare .." Francoise Hardy.
Pour D. D.
tu te promenes et vois toute la beaute avec ton ame et coeur,
et comme un troubadour, quand tu parles, c'est une chanson belle chacque fois.
Le coeur a ses mysteres et ses voyages, qui le rendent ou heureux ou triste,
et toi le troubadour a mis ta fleche comme un chasseur precis et je ne sais pas voulu m'echapper,
comme sous un sortilege seduisant, je me suis perdu dans la brume de tes yeux.
C'est inutile de resister, l'enfant blessee il y a si longtemps me suit comme une ombre,
cherchant le chemin de retour a l'innocence, et toi, l'etranger silencieux et curieux,
ne comprend pas ce que je veux de toi : une promenade sous les etoiles et un matin d'eau claire,
ton sourire que ce ne fut qu'une fois, et ta main dans la mienne sur la route des montagnes et rivieres.
Une chance de reparer le passe, d'aimer sans peur ou gene pour un beau moment,
et de partir, fiere et guerrie, avec le parfum des fleurs et la chanson des oiseaux de chez toi
dans ma poche, et quelques beaux petits cailloux le poids desquels me rappelleraient qu'effectivement
avec ta patience et tolerance,
j'ai retrouve un peu le pays perdu de mon adolescence.
Trudi Ralston.
"... Ma jeunesse fou le camp, comme un aire de guitare .." Francoise Hardy.
Pour D. D.
Sunday, August 13, 2017
Djamil Diboune : Le Courage du Bonheur
Apres presque six semaines d'une chaleur etouffante, hier soir la pluie est revenue, et le son etait comme de la musique sur les feuilles des arbres et plantes et fleurs assoiffes. Je pensais aux photos de Djamil Diboune d'il y a deux jours, un album riche de prises aux rives de rivieres montanieres, ou l'abondance de l'eau fraiche dans des couleurs brilliantes me donnait soif, et envie d'aller nager dans cette energie pure et joyeuse. La huitieme photo m'imagine rire avec l'effort de m'equilibrer sur les roches glissantes et de sentir l'eau froide et calmante apres la chaleur sur mes pieds nus et jambes. L'idee me rappellait encore les souvenirs heureux des randonnees en Autriche avec ma famille comme adolescente. Les couleurs vertes et bleus dans la photo evoquaient une peinture idyllique, paisible, tranquille. Toutes les photos dans la serie creent cette ambiance qui inspire la paix, et les photos qui inspirent la paix et aussi une energie joyeuse, comme la vingt - sixieme photo le fait si bien, reussissent en faire un album qui resonne avec du bonheur. Dans un monde qui est lourd avec des problemes et du pessimisme, et ou tout moment de bonheur devient une lutte de justification, pour les divisions qu'insiste soient visibles et manipulees une encyclopedie de resentiments sociaux et politiques, le plaisir pur de photos de la nature comme les sait faire le photographe d'Aokas est tres bienvenue. Il nous rappelle le courage du bonheur, la decision de savoir apprecier les choses simples dans la vie, comme une riviere et son eau pour rafraichir le corps et l'esprit. Il nous ouvre les yeux, et le coeur, pour qu'on se rend compte que pas tout doit etre difficile, intenable, hors de notre perspective ou ambitions. Il nous partage la beaute de sa region natale et ma famille et amis ici, en Europe, au Canada sont impressiones par ses photos et me demandent, c'est ou que ce trouve cette nature si belle? Je leur dit c'est en Algerie, en Afrique du Nord. C'est interessant pour moi de constater que beaucoup entre eux se rendent compte qu'ils doivent apprendre plus sur le monde et ses richesses naturelles, et d'apprecier la beaute qui existe chez eux, parcequ'ils se realisent comme moi, que Djamil Diboune partage la beaute de son pays, de sa region, en toute generosite et conscient de l'importance de montrer la nature et ce qu'elle nous peut apprendre. Il nous encourage de sortir, de regarder, de marcher, de decouvrir, et il nous donne envie de comprendre, de voyager, d'essayer de connaitre plus de la terre et ses joyaux naturels. Il m'encourage d'etre heureuse, de celebrer la nature ici, a Olumpia, en Washington, et de rever d'explorer le monde autour de moi, et le monde naturel en Algerie, et d'y arriver un jour, si la vie me le permet, pour connaitre son pays et vivre en personne les beaux moments que me donnent a chacque fois ses photos pleines de courage pour le bonheur et sante pour le corps, ame et coeur que la nature nous offre chacque jour a nouveau.
La Libellule : Poesie et Anecdote dans La Photographie de Djamil Diboune
Dans son album de photos de hier, Djamil Diboune montre un autre aspect de son talent :
la capacite de raconter une histoire charmante avec des detailles dans ses photos de la nature de sa region. Il y a dans cette serie de photos des sujets desarmants dans leur simplicite, capture avec une elegance sobre et precise : des tomates mures sur la vigne, un papillon modeste se reposant sur une fleur sauvage, un cricket confiant, l'exosquelette d'une guepe, qui racontent tous une histoire de la vie du monde des insectes. Il y a une photo, la septieme photo dans l'album, qui montre une libellule delicate et precieuse, avec tous les detailles de son corps bien exactes : les yeux grands et opaques, les mandibules fortes et secures, les six pattes minces et delicates qui s'equilibrent sur une petite branche morte, les ailes fines et immobiles, et le corps long et etroit, toute cette ensemble miniscule qui reussit a capturer notre attention, dans des couleurs de jaune, bleu doux, rose et orange, avec une precision qui montre meme les petits poils sur les pattes de l'animal fameux pour ses abilites de navigation et vision superieures. La libellule dans cette photo a toutes les charmes d'un insecte qui parait connaitre bien la nature et a eu plein d'exploits dans sa vie de voyageur globale et qui regarde la camera avec de la curiosite. La photo est precieuse dans les detailles a la fois temoins de l'oeil artistique de Djamil Diboune et la tendresse du moment d'une libellule qui recupere de la chaleur d'ete. Un bon photographe de la nature sait capturer les moments grandioses et les moments tranquils et simples. Le photographe d'Aokas est maitre dans les deux. Il sait nous inspirer avec ses vistas de montagnes et desert en meme temps qu'il nous sait faire attention au monde souvent cache des insectes. Dans cette facon, il nous montre aussi l'importance de toute la nature, grande et petite, vegetale et animal et inspire du respect pour tous les aspects du monde naturel. La photo de la libellule reposante est une fenetre dans un monde qu'on ne connait pas assez, et le photographe berbere le fait d'une facon unique , a la fois instructif et espiegle.
Il y a une photo, la neuvieme dans la meme serie, qui montre un oiseau sur une branche d'un vieux arbre sec sur un fond pale. L'oiseau et les branches paraissent dessines avec de l'encre chine, dans des lignes noires, fluides et precises, un example de la capacite de Djamil Diboune de rendre une photo d'une finesse technique exceptionnelle avec presque un monochrome de couleurs. J'avais deja ecrit sur son talent pour approcher avec ses photos la peinture orientale de peindre sur de la soie dans des articles anterieures. La photo exacte de l'oiseau immobile dans des branches presque mortes est impressionante de mesure extra, pour rendre cette technique serigraphique avec si peu de couleur. La photo de la libellule avec ses couleurs de palette douce, et la photo de l'oiseau a l'absence de couleurs sont deux examples du talent si raffine du photographe qu'elles meritent cet hommage.
La libellule le merite pour la note d'anecdote artistique du moment, et l'oiseau dans l'arbre le merite pour la note fine et poetique d'un moment serieux. Les deux photos sont d'une qualite exquisite et inoubliable d'un artiste avec une sensibilite et discipline superieures dans tous les sens du mot.
la capacite de raconter une histoire charmante avec des detailles dans ses photos de la nature de sa region. Il y a dans cette serie de photos des sujets desarmants dans leur simplicite, capture avec une elegance sobre et precise : des tomates mures sur la vigne, un papillon modeste se reposant sur une fleur sauvage, un cricket confiant, l'exosquelette d'une guepe, qui racontent tous une histoire de la vie du monde des insectes. Il y a une photo, la septieme photo dans l'album, qui montre une libellule delicate et precieuse, avec tous les detailles de son corps bien exactes : les yeux grands et opaques, les mandibules fortes et secures, les six pattes minces et delicates qui s'equilibrent sur une petite branche morte, les ailes fines et immobiles, et le corps long et etroit, toute cette ensemble miniscule qui reussit a capturer notre attention, dans des couleurs de jaune, bleu doux, rose et orange, avec une precision qui montre meme les petits poils sur les pattes de l'animal fameux pour ses abilites de navigation et vision superieures. La libellule dans cette photo a toutes les charmes d'un insecte qui parait connaitre bien la nature et a eu plein d'exploits dans sa vie de voyageur globale et qui regarde la camera avec de la curiosite. La photo est precieuse dans les detailles a la fois temoins de l'oeil artistique de Djamil Diboune et la tendresse du moment d'une libellule qui recupere de la chaleur d'ete. Un bon photographe de la nature sait capturer les moments grandioses et les moments tranquils et simples. Le photographe d'Aokas est maitre dans les deux. Il sait nous inspirer avec ses vistas de montagnes et desert en meme temps qu'il nous sait faire attention au monde souvent cache des insectes. Dans cette facon, il nous montre aussi l'importance de toute la nature, grande et petite, vegetale et animal et inspire du respect pour tous les aspects du monde naturel. La photo de la libellule reposante est une fenetre dans un monde qu'on ne connait pas assez, et le photographe berbere le fait d'une facon unique , a la fois instructif et espiegle.
Il y a une photo, la neuvieme dans la meme serie, qui montre un oiseau sur une branche d'un vieux arbre sec sur un fond pale. L'oiseau et les branches paraissent dessines avec de l'encre chine, dans des lignes noires, fluides et precises, un example de la capacite de Djamil Diboune de rendre une photo d'une finesse technique exceptionnelle avec presque un monochrome de couleurs. J'avais deja ecrit sur son talent pour approcher avec ses photos la peinture orientale de peindre sur de la soie dans des articles anterieures. La photo exacte de l'oiseau immobile dans des branches presque mortes est impressionante de mesure extra, pour rendre cette technique serigraphique avec si peu de couleur. La photo de la libellule avec ses couleurs de palette douce, et la photo de l'oiseau a l'absence de couleurs sont deux examples du talent si raffine du photographe qu'elles meritent cet hommage.
La libellule le merite pour la note d'anecdote artistique du moment, et l'oiseau dans l'arbre le merite pour la note fine et poetique d'un moment serieux. Les deux photos sont d'une qualite exquisite et inoubliable d'un artiste avec une sensibilite et discipline superieures dans tous les sens du mot.
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