La pluie tombe, et le ciel pleure des larmes gris.
Je cherche vos photos de lumiere et couleurs chaud au soleil,
je sens l'absence de votre esprit et energie, et je sens le creux
qui touche mon ame dans cette foret feroce qu'est l'oubli.
Cette touche qu'est la beaute de votre art, qui me suit a travers deux oceans,
qui donne une chaleur et joie a mon histoire, un geste beau de la dame du sort,
c'est vos montagnes berberes qui me calment la melancholie et le chagrin
de toute une vie cherchant le pourquoi et comment de mon chemin.
C'est vos photos de vos rivieres, vos deserts et couchers de soleil,
vos fleurs et animaux, qui me guerissent les doutes et peines,
la passion de votre sang berbere qui est de l'eau fraiche pour le soif
qu'a depuis toujours ma muse, qui a en vos visions une forte racine.
Meme les montagnes les plus grands recoivent leurs creux, avec le temps qui passe
les rochers les plus durs recoivent aussi leur marque, comme la vie les donne a nos exploits.
Le vide qui est mon ombre certains jours et nuits, votre art l'adoucit, lui donne une melodie
comme un nouveau matin berbere, une aube doree et belle, venant de la lumiere qui vit
comme un feu clair dans vos yeux, ces deux etoiles ebenes qui illuminent depuis les reves de mes poemes.
Trudi Ralston.
Pour Djamil Diboune.
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