Sous un ciel bleu clair ou la lumiere est douce comme une soie pour la peau qui a eu trop froid ou trop chaud, les nuages haut au - dessus du toit de la maison revent blancs et silencieux et sont les yeux de ton ame, de ton coeur calme.
La, dans ce silence accueillant et grand, je voyage, parmi les poemes de mon adolescence, et j'entends les melodies de ces premiers pas au pays de la poesie et ses couleurs, et parmi les notes, il y le piano, la guitare qui dessinent pour moi les couleurs de ton art et de sa voix.
Je traverse la distance du passe au present avec a mes cotes les visions de tes photos et leurs messages, je touche les souvenirs de mon enfance, les reves timides de mon adolescence, les courages tetues pour atteindre les rives ou pourrait se retrouver et reposer mon ame epuisee de poete et femme.
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La, haut parmi les nuages blancs, immenses, m'accueillants comme une couverture pour le sommeil si recherche toutes ces annees pour mon coeur et muse errants sans charite ou guidance, je vois toujours la fenetre ouverte de ton art en Kabylie, a Aokas, loin dans la distance.
Les nuages ici me parlent en melodies, en musique de violon, de guitare, dans une langue que je comprends car c'est la langue des esprits et leur sagesse me venue des montagnes et plages de la Kabylie, avec les nuages que me partagent les visions de ton art, ses portraits, ses nature mortes, sa flore et faune
avec tous les mots, toutes les cadences qui se melangent avec les nuages de mon ame que tes photos me traduisent et qui me font comprendre que je suis chez moi quand je voyage sur les nuages d'ici vers les nuages qui t'accompagnent l'inspiration et le coeur et l'ame la ou tu vis, en Algerie.
Trudi Ralston
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