Ce poeme trouve son inspiration, sa melodie, dans une reflection qui m'a surpris pour son fond sombre, et pourtant tres sincer, pour son experience visonnaire meme, quant aux liens qui nous definent, pour le bien et pour le penible, pour ne pas dire le mal. Cela m'etonne sans cesse, comme on est tous des produits de circonstances, de codes genetiques, d'histoires heritees, qui nous ont lancee dans la vie, comme un projectile a grande vitesse, des notre naissance, dans cette espace precaire du destin et ses mysteres, de qui on navigue aussi bien que possible les coordonnees des lieux sur son chemin, sans avoir pour la plupart ni la moindre idee ou se trouve la route a suivre. C'est souvent le cas, que les personnes qu'on y rencontre, par hazard, ou par dessein, y ajoutent ou bien une mesure de bonheur, ou de chagrin, sous forme de famille, amities, proches. Ces liens qui peuvent etre une benediction, ou une prison, de qui ses chaines souvent sont camoufflees avec beaucoup de dexterite, selon la culture, ses moeurs, ses empreintes recues ou donnees, sur le theatre de l'histoire de notre vie et nos roles y attribuee. Les arts y sont depuis la nuit des temps, une ressource qui donne une voix, une vision libres, qui affirment le courage, la force, de savoir creer notre identite, dans le contexte de nos experiences mais ne pas asphixiee, limitee, par leurs exigences, leurs defis, ne pas niee de donner expression aux visions uniques de notre ame, de son coeur, de son esprit. J'ai ecrit ce poeme en espagnol, ayant ecoutee ces derniers jours une musique flamenca, de qui j'aime depuis mon enfance deja, la force, la passion, la determination de se forger une voix qui decide d'etre authentique, libre, qui se bat contre les hypocrisies du monde et ses contradictions, ses impositions; un monde qui cherche d'imposer l'uniformite en tout, l'obeissance a une authorite meme si celle devient destructive, asphyxiante, et meme dans les liens qu'on trouve, professionnels, personnels. Ce poeme celebre alors la volonte creative, le droit d'etre libre, d'etre soi - meme, le refus d'etre une copie, de plaire, la decision d'assurer de ne pas permettre que qui que ce soit, nous domine, nous limite le bonheur de l'expression libre de notre etre, de son desir de se definir, sans contraintes negatives, sans le poison du mepris, sans le couteau sadique du cynisme, et de se permettre la confiance de suivre et construire autant que possible, nous - memes le cours de notre vie:
La Mayoria
Es un misterio si difficil de comprender, su razon, su origen, su manifestacion, de los obstaculos que encontramos en el camino de nuestra vida, en formas tan variadas, que muchas veces no las vemos su intento, su deseno.
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Seguimos con energia, con valentia, con carino, los propositos de nuestros suenos, y talentos, que definen nuestro espiritu, nuestro corazon. Sufrimos con dignidad, con esperanza, las exigencias del camino que nos reclaman el amor, la familia, la sociedad, sin perder de vista las raices y su sabiduria de nuestra identidad, de nuestra salvada intimidad.
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La mayoria de los enlaces no nos ven la verdad, no nos respetan lo sagrado de nuestra existencia, de sus dolores, de sus felicidades ni el precio pagado para su libertad. Nos ven como presos hechos pour su diversion, su vacio, que nos condena de vivir demasiados anos en la prison de las trampas tenaces.
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Las trampas tenaces, construidas de las ilusiones nos presentadas comme regalos, que son la fata morgana que desperdicia nuestra innocencia, nuestra verdad, nuestra fuerza, su voz, su melodia, su paz. Ah, esas mascaras pesadas que tantas veces las personas que profesan de nos amar, nos metan con tanta crueldad.
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y que nos privan del aire limpia de que necesita nuestra alma para que queda libre, para que no muere en el ataud de la oppression, de la dominancia, que se cree tener el derecho de posseder nuestro amor, que busca de destrozar, de borrar nuestra identitad, la reducir a un automata, facil a manipular.
Trudi Ralston
"Le corps ne se cache pas de l'ame, ni moins que l'ame se cache du corps, et pourtant, ce n'est pas donnee a toute personne, de reconnaitre, de voir, l'ame." - Jalal al - Din Muhammad RUMI (1207 - 1273), poete et mystique Sufi perse.
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"Il y a un sentier de qui sa traversee me mene vers toi, et que je cherche tout le temps, et ainsi, j'essaie de le garder visible, et tranquil, comme l'eau le fait pour la lune. " - RUMI.
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