Le groupe "Association de Wilaya Tourisme et Culture " Les Randonneurs des Babors " ont l'esprit avonturier, et possedent une fierte et enthousiasme quant a la nature, la culture et l'histoire de l'Algerie. On apprend toujours a la suite d'une de leurs randonnees. L'excursion du 29 decembre n'en est pas une exception, comme le recit qu'en a compose apres la plume eloquente du groupe, Achour Zemouri. Le recit est sur la visite du groupe a un site historique d'une importance peu connue et pourtant bien importante dans le contexte de la periode coloniale francaise en Algerie. Il s'agit des mines d'Ait Felkai, Bejaia, un de trois sites ou la majorite des travailleurs algeriens etaient forces d'extraire le minerai de fer des mines, qui serait ensuite transporte et fabrique en fer puddle pour la construction de la Tour Eiffel, inauguree le 31 mars 1889. La quantite de fer puddle pour une premiere commande de la part de Gustave Eiffel etait 8000 tonnes. On peut s'imaginer le pas frenetique horrifiant qui etait exige des travailleurs des mines pour extraire le minerai de fer pour pouvoir fournir cette quantite immense de fer puddle. Il y a quelques annees, j'avais lu un livre dedique justement a la construction de la Tour Eiffel, et nulle part le livre parlait du fait que le fer pour cette merveille d'architecture venait de 3 sites en Algerie : les mines de Zaccar, de Rouiina, et de Ait Felkai, avec plus de 1800 personnes pour faire le travail de l'extraction du minerai de fer dans chaque mine, et les travailleurs qui sont morts pendant ce travail force etaient enterres sur place, sans meme avertir leurs familles. Achour Zemouri decrit tres bien le terrain difficile d'acces, et cela met en relief les circonstances inhumaines sous lesquels ce fer fameux et elusif etait extrait. Avec le guide du groupe en l'occurrence Bektache Brahim, Achour Zemouri etablit un recit touchant sur ces abus du peuple algerien sous le colonialisme francais. L'histoire des mines de Zaccar, Rouina et de Ait Felkai souligne le prix humain de souffrance et de mort d'une page de l'histoire de l'Algerie qui a besoin d'etre connue et compris, une page qui est lie a la Tour Eiffel, qui recoit des millions de visiteurs chaque annee, 7 million de personnes, et c'est important apres plus d'un siecle depuis son inauguration, que les faits sur sa construction soient connues, quant a l'importance des 3 mines en Algerie qui ont fournies le minerai de fer pour cet edifice considere un des merveilles de l'architecture du XXI ieme siecle, et sur l'urgence que toutes les personnes algeriennes qui ont souffert et qui son mortes pendant l'extraction du fer necessaire pour la Tour Eiffel soient reconnues et honorees, comme le travail fait par les artisans esclaves qui ont construit la Maison - Blanche a Washington D.C. La Maison -Blanche a ete construite par des esclaves artisanaux noirs, un fait qui avait ete ignore et omis jusqu'a les dernieres decennies. La magazine The Smithsonian, publie depuis 1970 a washington D. C., a fait la lumiere sur cette omission, dans un article de juillet 2016. En 2005, le congres americain avait etabli un groupe de travail, pour faire de la recherche sur le sujet, comme au moment de la construction de la Maison Blanche, commence en octobre 1792, il y avait 750,000 esclaves a Virginia et Maryland. Les esclaves noirs etaient part de tous les aspects de la construction : comme charpentiers, macons, et ils etaient part du platrage, vitrage et de la peinture, en plus, les esclaves noirs coupaient les buches et les roches, et travaillaient dans les carrieres de pierre utilisees pour la construction de la Maison - Blanche. Ces faits historiques sont importants de savoir, d'admettre, et la contribution tragique des travailleurs de travail force dans les mines d'extraction de minerai de fer en Algerie pour la construction de la Tour Eiffel est d'une importance incontestable quant a la veracite historique sur le colonialisme francais en Algerie.
Le recit ecrit par Achour Zemouri est concret, sincer, sans sentimentalisme ou rancune, c'est un recit sobre, bien explique, qui est emouvant pour sa dignite et pour sa retenue. Pour comprendre vraiement l'histoire, il faut la verite. Michelle Obama a parle de la sensation comme la premiere First Lady noire de se reveiller dans la Maison - Blanche, construit par des esclaves noirs, un fait interessant quant a l'histoire continue contre le racisme du pays. C'est important de lire le recit d'Achour Zemouri quant a l'importance de comprendre, vraiement comprendre la verite sur les souffrances du peuple algerien pendant la periode coloniale francaise, si on veut finir par construire des ponts au lieu d'obstacles et guerir les blessures du passe en Algerie. Le recit d'Achour Zemouri des Randonneurs des Babors fait reflechir, et avec une nouvelle annee qui vient de commencer, cela nous donne tous et toutes une autre chance d'apprendre sur les personnes qui nous entourent, que ce soit les personnes de notre voisinage, ou nos ami(e)s a l'autre bout du monde qui neaumoins sont tous et toutes nos voisins et voisines, comme on est tous part de la meme famille d'etres humains. L'histoire a un second regard souvent illumine ce qu'on a manque la premiere fois.
Trudi Ralston
L'information sur les travailleurs esclaves de la construction de la Maison Blanche, courtoisie de Smithsonian magazine, juillet 2016.
Monday, December 31, 2018
Friday, December 28, 2018
Si - Un Poeme inspire par la photo du Roselin de Djamil Diboune
Si pour un moment, je pourrais me detendre completement,
comme le petit oiseau roselin de ta photo, tout tranquil sur un tige invernal,
sous un ciel bleu de pervenche somnolent.
Si pour un moment, je pourrais comprendre le silence et ses raisons,
naviger mon destin comme un vent sur de sa direction,
et rever le jour ce qui m'echappe la nuit trop souvent.
Si pour un moment, je pourrais voler libre comme le fait le roselin tout le temps,
si je pourrais juste pour un moment chanter a pleine voix, sans gene et sans peine,
sans penser a demain, sans mesurer le temps qui passe trop vite et qui reste si loin.
Si pour une fois, les distances etaient telles que je pourrais les traverser dans quelques secondes,
si c'etait permis de danser avec exuberance et joie, d'echanger des rires et des larmes, si c'etait permis d'aimer autant, meme pour juste un moment.
Je pourrais ensuite, vivre toute tranquille, comme le petit roselin,
a qui c'est donne de vivre libre toute sa vie.
Peut -etre quelque part, il y a un esprit genereux, qui decidera que moi aussi,
pour juste un moment, avec la lumiere brillante d'un jour, ou avec la musique envoutante d'une nuit, je saurais que c'est, d'etre libre, en toute humilite, en toute beaute, en toute merveilleuse extase et espoir.
Si.
Je pourrais.
Sans peur, sans probleme.
Etre libre.
Tout juste comme le roselin de ta belle photo.
Le jour s'acheve. Mon coeur bat.
Trudi Ralston
" Les amities, on peut seulement les comparer a la danse et a la musique. On ne peut pas les chercher, elles s'offrent du profond d'un besoin involontiers. " Rainer Maria Rilke ( 1875 - 1926 ), " Les Premiers Carnets. "
comme le petit oiseau roselin de ta photo, tout tranquil sur un tige invernal,
sous un ciel bleu de pervenche somnolent.
Si pour un moment, je pourrais comprendre le silence et ses raisons,
naviger mon destin comme un vent sur de sa direction,
et rever le jour ce qui m'echappe la nuit trop souvent.
Si pour un moment, je pourrais voler libre comme le fait le roselin tout le temps,
si je pourrais juste pour un moment chanter a pleine voix, sans gene et sans peine,
sans penser a demain, sans mesurer le temps qui passe trop vite et qui reste si loin.
Si pour une fois, les distances etaient telles que je pourrais les traverser dans quelques secondes,
si c'etait permis de danser avec exuberance et joie, d'echanger des rires et des larmes, si c'etait permis d'aimer autant, meme pour juste un moment.
Je pourrais ensuite, vivre toute tranquille, comme le petit roselin,
a qui c'est donne de vivre libre toute sa vie.
Peut -etre quelque part, il y a un esprit genereux, qui decidera que moi aussi,
pour juste un moment, avec la lumiere brillante d'un jour, ou avec la musique envoutante d'une nuit, je saurais que c'est, d'etre libre, en toute humilite, en toute beaute, en toute merveilleuse extase et espoir.
Si.
Je pourrais.
Sans peur, sans probleme.
Etre libre.
Tout juste comme le roselin de ta belle photo.
Le jour s'acheve. Mon coeur bat.
Trudi Ralston
" Les amities, on peut seulement les comparer a la danse et a la musique. On ne peut pas les chercher, elles s'offrent du profond d'un besoin involontiers. " Rainer Maria Rilke ( 1875 - 1926 ), " Les Premiers Carnets. "
Thursday, December 27, 2018
Le Scinque Berbere de Djamil Diboune : Une Creature Ancienne Sympathique
Il y a deux jours, le photographe de la nature Djamil Diboune a partage une photo qui m'a mis sur les traces d'une creature qui m'a fait courir pour l'identifier. Il s'agit de Eumeces schneideri, le scinque berbere. Les scinques sont des lezards, de la famille de Scincidae, avec plus de 1500 especes reconnues, ce qui les classifie comme une des familles de lezards les plus diverses. Leur nom scinque est derive du mot grec skinkos, ce qui veut dire lezard. Les scinques se paraissent a des vrais lezards, mais la plupart des especes de scinques n'ont pas des cous prononces, et leur pattes sont petites, et plusieurs genera, ce qui se refere a la classification au - dessus de especes, n'ont pas des pattes du tout, comme Typhlosaurus. D'autres genera, comme Neoseps, ont des membres reduits, avec moins de cinq orteilles, et leur mouvement se parait plus a celui d'une serpent, plus que celui d'un lezard au membres bien developpes. La plupart des scinques ont des queues longues, qu'ils sont capables de perdre s'ils se trouvent en danger d'un predateur. Les especes au queues plus courtes n'ont pas cette capacite d'echapper ainsi au danger. Certaines especes de scinques sont bien petites, comme Scincella lateralis, qui mesure entre 7.5 a 14.5 cm, et plus de la moitie de cette longueur est la queue. L'espece la plus grande est le scinque des Iles Salomon, qui atteint une longueur de 35cm. Un fait curieux : le sang des scinques est vert, a cause de l'accumulation du produit biliverdin, un pigment vert secrete dans la bile.
On a trouve des fossiles de scinques d'il y a 140 million d'annees, dans la periode du Cretace, et definitivement dans la periode Miocene. Un trait de presque toutes les especes de scinques est creuser et fouiner, ils passent la plupart de leur temps sous - sol, ou ils sont proteges de predateurs, et ils font meme parfois des tunnels pour faciliter la navigation du terrain. Ils ont aussi des langues qu'ils utilisent pour renifler l'air et trouver leur proie. Quand ils trouvent leur proie, ils la chassent dans un coin, ou essayent de la mordre, et ensuite l'avalent tout entier. Les scinques sont carnivores, et mangent des mouches, des grillons, des sauterelles, des coleopteres, et des chenilles. Plusieurs especes mangent aussi des vers de terre, des millipedes, des limaces et des escargots, ainsi que des papillons de nuit, d'autres lezards et des petits ronguers.
Les scinques sont cosmopolites, leurs especes se trouvent dans une variete d'habitats partout sur terrre, avec l'exception de regions arboreales et polaires. Plusieurs especes se trouvent dans des eco - systemes varies, de deserts, de montagnes et de prairies. Ils ont une longue liste de predateurs :
ratons laveurs, renards, opossum, serpents, corbeaux, chats, chiens, faucons, herons, lezards, ce qui rend la saison des amours dangereux pour les scinques. La plupart des especes de scinques sont ovipare, ce qui veut dire que leur progeniture sort d'oeufs, mais 45% des scinques sont ovivipare, ce qui veut dire que les bebes se developpent dans le systeme reproducteur de la mere, et emergent en tant que naissances vivantes.
Le scinque berbere, Eumedes schneideri, de la photo de Djamil Diboune, est un scinque originair de l'Asie centrale, l'Asie de l'Ouest, et l'Afrique du Nord. Ils ont la couleur marron - olive sur les parties superieures, uniforme, ou avec des taches dorees - jaunes irregulieres, ou stries longitudinales; ils sont stries a partir de l'oeil jusqu'aux membres posterieures, et leurs surfaces inferieures sont jaune - blanc. Ils ont une longueur de 16.5 cm, et y compris la queue, une longueur de 20cm.
Il existent 5 sub -especes : Eumeces schneideri barani Kumlatas, Eumeces schneideri pavimentus, Eumeces schneideri princeps, Eumeces schneideri schneideri, et Eumeces schneideri zarudnyi .
Ils ont une grande distribution geographique : l'est de l'Algerie, la Tunisie, la Libye, l'Egypte, l'Israel, Cypre, la Turquie, l'ouest de la Syrie, le Liban, Jordan, l'Iran ( le desert Kavir ), l'Iraq, l'Arabie Saoudite, la Transcaucasie, la Russie, le Turkmenistan, l'Uzbekistan, le Tajikistan, l'est de la Georgie, le sud de l'Armenie, l'Azerbaijan, l'Asie Minor, l'Afghanistan, le nord du Pakistan, et le nord - ouest de l'Inde.
Le scinque berbere dans la photo de Djamil Diboune m'a permis, apres une recherche sur le mystere de son identification un peu frustrante, une visite agreable dans son monde et son habitat. Comme c'est la fin de l'annee, ou je ressens toujours plus fort l'absence de famille, de parents, de freres et soeurs, de tantes, oncles, cousins et cousines, de grand parents, la compagnie du scinque berbere etait bien appreciee de ma part. Quand on est triste, disait souvent ma grand mere, il faut travailler. D'accord, c'est aussi une bonne idee d'apprendre des nouvelles choses, comme j'ai fait ces deux derniers jours avec cette creature de l'est de l'Algerie, Eumeces schneideri, qui m'a fait oublier un peu ma melancholie de la saison, et qui m'a fait apprecier les efforts enthousiastes et dediques du photographe de la nature Djamil Diboune en meme temps.
Trudi Ralston
La recherche sur le scinque berbere, Eumeces schneideri, et sur le monde des scinques, Eumeces, en general, courtoisie de Wikipedia.
On a trouve des fossiles de scinques d'il y a 140 million d'annees, dans la periode du Cretace, et definitivement dans la periode Miocene. Un trait de presque toutes les especes de scinques est creuser et fouiner, ils passent la plupart de leur temps sous - sol, ou ils sont proteges de predateurs, et ils font meme parfois des tunnels pour faciliter la navigation du terrain. Ils ont aussi des langues qu'ils utilisent pour renifler l'air et trouver leur proie. Quand ils trouvent leur proie, ils la chassent dans un coin, ou essayent de la mordre, et ensuite l'avalent tout entier. Les scinques sont carnivores, et mangent des mouches, des grillons, des sauterelles, des coleopteres, et des chenilles. Plusieurs especes mangent aussi des vers de terre, des millipedes, des limaces et des escargots, ainsi que des papillons de nuit, d'autres lezards et des petits ronguers.
Les scinques sont cosmopolites, leurs especes se trouvent dans une variete d'habitats partout sur terrre, avec l'exception de regions arboreales et polaires. Plusieurs especes se trouvent dans des eco - systemes varies, de deserts, de montagnes et de prairies. Ils ont une longue liste de predateurs :
ratons laveurs, renards, opossum, serpents, corbeaux, chats, chiens, faucons, herons, lezards, ce qui rend la saison des amours dangereux pour les scinques. La plupart des especes de scinques sont ovipare, ce qui veut dire que leur progeniture sort d'oeufs, mais 45% des scinques sont ovivipare, ce qui veut dire que les bebes se developpent dans le systeme reproducteur de la mere, et emergent en tant que naissances vivantes.
Le scinque berbere, Eumedes schneideri, de la photo de Djamil Diboune, est un scinque originair de l'Asie centrale, l'Asie de l'Ouest, et l'Afrique du Nord. Ils ont la couleur marron - olive sur les parties superieures, uniforme, ou avec des taches dorees - jaunes irregulieres, ou stries longitudinales; ils sont stries a partir de l'oeil jusqu'aux membres posterieures, et leurs surfaces inferieures sont jaune - blanc. Ils ont une longueur de 16.5 cm, et y compris la queue, une longueur de 20cm.
Il existent 5 sub -especes : Eumeces schneideri barani Kumlatas, Eumeces schneideri pavimentus, Eumeces schneideri princeps, Eumeces schneideri schneideri, et Eumeces schneideri zarudnyi .
Ils ont une grande distribution geographique : l'est de l'Algerie, la Tunisie, la Libye, l'Egypte, l'Israel, Cypre, la Turquie, l'ouest de la Syrie, le Liban, Jordan, l'Iran ( le desert Kavir ), l'Iraq, l'Arabie Saoudite, la Transcaucasie, la Russie, le Turkmenistan, l'Uzbekistan, le Tajikistan, l'est de la Georgie, le sud de l'Armenie, l'Azerbaijan, l'Asie Minor, l'Afghanistan, le nord du Pakistan, et le nord - ouest de l'Inde.
Le scinque berbere dans la photo de Djamil Diboune m'a permis, apres une recherche sur le mystere de son identification un peu frustrante, une visite agreable dans son monde et son habitat. Comme c'est la fin de l'annee, ou je ressens toujours plus fort l'absence de famille, de parents, de freres et soeurs, de tantes, oncles, cousins et cousines, de grand parents, la compagnie du scinque berbere etait bien appreciee de ma part. Quand on est triste, disait souvent ma grand mere, il faut travailler. D'accord, c'est aussi une bonne idee d'apprendre des nouvelles choses, comme j'ai fait ces deux derniers jours avec cette creature de l'est de l'Algerie, Eumeces schneideri, qui m'a fait oublier un peu ma melancholie de la saison, et qui m'a fait apprecier les efforts enthousiastes et dediques du photographe de la nature Djamil Diboune en meme temps.
Trudi Ralston
La recherche sur le scinque berbere, Eumeces schneideri, et sur le monde des scinques, Eumeces, en general, courtoisie de Wikipedia.
Wednesday, December 26, 2018
Fire in the Sky : The Cloud Dancers of Lotfi Bouslah
Art is a vibrant energy, a shared passion, a message that comes to us from the depths of the spiritual and all its manifestations that inspire, encourage, that free the soul and the heart, and in the case of dance, that are capable of also setting the body free. Art, like love, is a freedom song, like the flight of birds.
Today, nature photographer Lotfi Bouslah of Lolo Pics shared such a freedom song, with the superb photo of a blue sky where two free spirits dance, like two fire dancers, with the black mountains their dramatic theatrical stage, all along the horizon of the day that is ending. Dominant like two enormous modern sculptures, the clouds in this photo take the shape of a muscular male dancer, arms high in the air, the legs in the middle of a high jump, in a gesture of precision and seduction, and his partner, made from the imagination of these fantastic clouds, an enchanting female dancer, briefly kneeling, in a gesture of appreciation and hope towards the beautiful male dancer. The long hair of the female dancer bounces with the energy of the jumps of her male partner, in this intense and intimate encounter that the cobalt blue night sky has designed for this magnificent visual poem. At the feet of the male dancer, there is a golden light, like the reflection of the energy of his movements, and the female dancer is surrounded by red clouds, that wrap themselves around her legs, like the dress of a flamenco dancer. It is a scene of passionate sensual and transcendental beauty all in one. The male cloud dancer reminds me of a magnificent photo of a jump by Russian dancer Sergei Polunin, born in 1989 in Kherson, in the Ukraine, a dancer of international renown. The female dancer in the clouds reminds me of a painting by Andrew Atroshenko, born in 1965, in Pokrovsk, Russia, I think specifically of his painting of a flamenco dancer, arms held high, with a red dress wrapped around her energetic legs like a big flame. The golden colours of the cloud dancers in the photo of Lotfi Bouslah also remind me of a sculpture by the French artist Francois Raoul Larche ( 1860 - 1912 ) , of his gold bronze lamp, in the Art Nouveau style, of the American dancer Loie Fuller ( 1862 - 1928 ), wrapped in the energetic passion of her movements. Loie Fuller was considered revolutionary when it came to her knowledge of lighting techniques for the theatre, and her " Serpentine Dance " where she combined silk costumes and innovative lighting to accentuate the movement of her undulating costumes. She was an important symbol of the Art Nouveau Movement and a celebrated dancer and choreographer in Paris during her illustrious career. The photo of the clouds of Lotfi Bouslah remind me of the videos of this dancer with their energetic movements on the part of Loie Fuller, that were accentuated with the vibrant and illuminated colours of her innovative costumes, where the dancer and the costume were in a synchronized and harmonious flux.
It is beautiful when the skills of an artist take us by surprise, like this photo that is a clever wink to avant - garde art on the part of the nature photographer Lotfi Bouslah of Lolo Pics.
Trudi Ralston
The research on the Russian dancer Sergei Polunin, the Russian painter Andrew Atroshenko, the French sculptor Francois Raoul Larche and the American dancer Loie Fuller, courtesy of Wikipedia.
Today, nature photographer Lotfi Bouslah of Lolo Pics shared such a freedom song, with the superb photo of a blue sky where two free spirits dance, like two fire dancers, with the black mountains their dramatic theatrical stage, all along the horizon of the day that is ending. Dominant like two enormous modern sculptures, the clouds in this photo take the shape of a muscular male dancer, arms high in the air, the legs in the middle of a high jump, in a gesture of precision and seduction, and his partner, made from the imagination of these fantastic clouds, an enchanting female dancer, briefly kneeling, in a gesture of appreciation and hope towards the beautiful male dancer. The long hair of the female dancer bounces with the energy of the jumps of her male partner, in this intense and intimate encounter that the cobalt blue night sky has designed for this magnificent visual poem. At the feet of the male dancer, there is a golden light, like the reflection of the energy of his movements, and the female dancer is surrounded by red clouds, that wrap themselves around her legs, like the dress of a flamenco dancer. It is a scene of passionate sensual and transcendental beauty all in one. The male cloud dancer reminds me of a magnificent photo of a jump by Russian dancer Sergei Polunin, born in 1989 in Kherson, in the Ukraine, a dancer of international renown. The female dancer in the clouds reminds me of a painting by Andrew Atroshenko, born in 1965, in Pokrovsk, Russia, I think specifically of his painting of a flamenco dancer, arms held high, with a red dress wrapped around her energetic legs like a big flame. The golden colours of the cloud dancers in the photo of Lotfi Bouslah also remind me of a sculpture by the French artist Francois Raoul Larche ( 1860 - 1912 ) , of his gold bronze lamp, in the Art Nouveau style, of the American dancer Loie Fuller ( 1862 - 1928 ), wrapped in the energetic passion of her movements. Loie Fuller was considered revolutionary when it came to her knowledge of lighting techniques for the theatre, and her " Serpentine Dance " where she combined silk costumes and innovative lighting to accentuate the movement of her undulating costumes. She was an important symbol of the Art Nouveau Movement and a celebrated dancer and choreographer in Paris during her illustrious career. The photo of the clouds of Lotfi Bouslah remind me of the videos of this dancer with their energetic movements on the part of Loie Fuller, that were accentuated with the vibrant and illuminated colours of her innovative costumes, where the dancer and the costume were in a synchronized and harmonious flux.
It is beautiful when the skills of an artist take us by surprise, like this photo that is a clever wink to avant - garde art on the part of the nature photographer Lotfi Bouslah of Lolo Pics.
Trudi Ralston
The research on the Russian dancer Sergei Polunin, the Russian painter Andrew Atroshenko, the French sculptor Francois Raoul Larche and the American dancer Loie Fuller, courtesy of Wikipedia.
Monday, December 24, 2018
Under Imperial Guardianship : The Resilient Cedar Tree of Lotfi Bouslah
The National Park of Djurdjura in Kabylie is renown for having the most spectacular mountains in Algeria, and is considered a national and international treasure for its variety of flora and fauna. I have no doubt as to the veracity of this observation. I think of the sublime photos that nature photographer Lotfi Bouslah of Lolo Pics has shared of Djurdjura, like his photos taken on the heights of Azru 'n Thor, and the article I dedicated to his unforgettable photo of a sunrise there, an article I titled " At the Portal of Time : The Codebreaker Sun of Lotfi Bouslah ", of October 28th.
On December 13th, the nature photographer shared a photo that is striking because of its composition under a vibrant azure sky of a cedrus atlantica, a species of cedar native to the Atlas mountains of Morocco and Algeria, an ancient tree that has a history of cultural importance that spans thousands of years. Cedrus is a tree that originated in the Himalayan mountains and the Mediterranean region. The cedar is an evergreen tree, that belongs to the family of fir trees, and the word cedar tree is sometimes used to describe 30 species of plants that belong to 3 different families : Pinaceae, with between 220 and 250 species; Cupressaceae, with between 130 - 140 species, and Meliaceae, with about 600 species. The cedar is a tree that flourishes in high elevations, of 1500 - 3000 meters in the north - western regions of the Himalayas, and at altitudes of 2000 meters in the Mediterranean region, and the trees reach a height of between 30 and 40 meters, sometimes even reaching 70 meters, and they have thick branches with cracked bark.
Cedars symbolize strength, and are considered sacred since Antiquity. Their wood was used for the doors of temples, and for the ceremonial fires of purification rites. They were believed to be the hosts to the gods, and portals to higher realms. The oldest cedars are found in Lebanon, where to this day the original remnants of the Forest of the Gods still stand, the remaining cedars of the abundant forests that in Antiquity were used by the Phoenicians, the Israelites, the Babylonians, the Persians, the Romans, the Turks, for their naval shipyards, and the Ottoman Empire used the wood of the cedar trees for their railways. Since 1998, these forests are a classified UNESCO World Heritage Site. The cedar tree is the symbol of the Lebanese flag, and the forest of these remaining ancient cedars of the Forest of God can be found on the slopes of Mount Makmel, that dominate the Kadisha Valley, where these cedars are at an altitude of more than 2100 meters. Four of these cedars are 35 meters tall, and their trunks have a circumference of between 12 and 14 meters. The photo of Lotfi Bouslah shows a cedar, an Atlantic cedar, that the nature photographer introduces with the very appropriate title : " The tree that resists the conditions of nature. " It is a sublime photo of an Atlantic cedar, perched on the heights o Azru 'n Thor, in the National park of Djurdjura, with its twisted trunk, a marvelous contrast to its thick sparse, green and asymmetrical crown under an intense azure sky. At the foot of the cedar tree, are pale rocks, and around the cedar, coiled almost like a small dragon that appears to protect the ancient tree, there is a dead branch, and to the right, near the ground, there is a young green branch, that looks like a parasol, that shades the little dragon from the intensity of the sun and its almost blinding light. It is indeed a tree that " resists the conditions of nature. " Due to climate change, the forests of these precious forests suffer with the lack of water, caused by intense and prolonged droughts. The resilient cedar in the photo of Lotfi Bouslah has an austere elegance, that exudes a joie de vivre, so to speak, that celebrates the blue sky and that tolerates the heat and the uncertainty of the future, being a proud and rebellious descendant of an ancient past that goes back to the times of the pharaohs and the glories of ancient Babylon and Persia. It is a photo full of optimism, and full of beauty, with the azure sky as if made out of the silk for an ancient emperor's jewel display, and the elegant and proud cedar looks like a beautiful satin stitching, and the little dragon and the branch - parasol a design made with a needle threaded with silver silk, just like the design of the rocks too add an imperial touch to the tableau. One can imagine the heat, the silence, and one appreciates the determination of the cedar, hanging on with tenacity to the rocky soil, to the hope of the fresh green grass sprigs scattered along the rocks. The photo of Lotfi Bouslah is an inspiration, a piece of artistic perfection in every sense of the word.
Trudi Ralston
The research on the ancient history of the cedar tree, and Cedrus atlantica, courtesy of Wikipedia.
On December 13th, the nature photographer shared a photo that is striking because of its composition under a vibrant azure sky of a cedrus atlantica, a species of cedar native to the Atlas mountains of Morocco and Algeria, an ancient tree that has a history of cultural importance that spans thousands of years. Cedrus is a tree that originated in the Himalayan mountains and the Mediterranean region. The cedar is an evergreen tree, that belongs to the family of fir trees, and the word cedar tree is sometimes used to describe 30 species of plants that belong to 3 different families : Pinaceae, with between 220 and 250 species; Cupressaceae, with between 130 - 140 species, and Meliaceae, with about 600 species. The cedar is a tree that flourishes in high elevations, of 1500 - 3000 meters in the north - western regions of the Himalayas, and at altitudes of 2000 meters in the Mediterranean region, and the trees reach a height of between 30 and 40 meters, sometimes even reaching 70 meters, and they have thick branches with cracked bark.
Cedars symbolize strength, and are considered sacred since Antiquity. Their wood was used for the doors of temples, and for the ceremonial fires of purification rites. They were believed to be the hosts to the gods, and portals to higher realms. The oldest cedars are found in Lebanon, where to this day the original remnants of the Forest of the Gods still stand, the remaining cedars of the abundant forests that in Antiquity were used by the Phoenicians, the Israelites, the Babylonians, the Persians, the Romans, the Turks, for their naval shipyards, and the Ottoman Empire used the wood of the cedar trees for their railways. Since 1998, these forests are a classified UNESCO World Heritage Site. The cedar tree is the symbol of the Lebanese flag, and the forest of these remaining ancient cedars of the Forest of God can be found on the slopes of Mount Makmel, that dominate the Kadisha Valley, where these cedars are at an altitude of more than 2100 meters. Four of these cedars are 35 meters tall, and their trunks have a circumference of between 12 and 14 meters. The photo of Lotfi Bouslah shows a cedar, an Atlantic cedar, that the nature photographer introduces with the very appropriate title : " The tree that resists the conditions of nature. " It is a sublime photo of an Atlantic cedar, perched on the heights o Azru 'n Thor, in the National park of Djurdjura, with its twisted trunk, a marvelous contrast to its thick sparse, green and asymmetrical crown under an intense azure sky. At the foot of the cedar tree, are pale rocks, and around the cedar, coiled almost like a small dragon that appears to protect the ancient tree, there is a dead branch, and to the right, near the ground, there is a young green branch, that looks like a parasol, that shades the little dragon from the intensity of the sun and its almost blinding light. It is indeed a tree that " resists the conditions of nature. " Due to climate change, the forests of these precious forests suffer with the lack of water, caused by intense and prolonged droughts. The resilient cedar in the photo of Lotfi Bouslah has an austere elegance, that exudes a joie de vivre, so to speak, that celebrates the blue sky and that tolerates the heat and the uncertainty of the future, being a proud and rebellious descendant of an ancient past that goes back to the times of the pharaohs and the glories of ancient Babylon and Persia. It is a photo full of optimism, and full of beauty, with the azure sky as if made out of the silk for an ancient emperor's jewel display, and the elegant and proud cedar looks like a beautiful satin stitching, and the little dragon and the branch - parasol a design made with a needle threaded with silver silk, just like the design of the rocks too add an imperial touch to the tableau. One can imagine the heat, the silence, and one appreciates the determination of the cedar, hanging on with tenacity to the rocky soil, to the hope of the fresh green grass sprigs scattered along the rocks. The photo of Lotfi Bouslah is an inspiration, a piece of artistic perfection in every sense of the word.
Trudi Ralston
The research on the ancient history of the cedar tree, and Cedrus atlantica, courtesy of Wikipedia.
The Feeling of Solidarity in the World of Birds : The Common Bulbul of Lotfi Bouslah
This week, December 12th, nature photographer Lotfi Bouslah of Lolo Pics shared a charming photo of a couple of birds known by the popular name common bulbul, with it scientific name Pycnonotus barbatus. The common bulbul is a passerine bird in the order of Passeriformes, that account for more than half of the world's bird species, and the order of passerine refers to the fact that these birds have toes that facilitate perching. Pycnonotus barbatus is in the family Pycnonotidae, that are found in North, East, West and Central Africa. The common bulbul is considered a sub species, like the Himalayan bulbul, the white eared bulbul, and the white bespectacled bulbul, Pycnonotus xanthopygos, and the red eyed bulbul, and the Cape bulbul. The common bulbul has 5 recognized subspecies : Pycnonotus barbatus barbatus, found from Morocco to Tunisia; the bulbul of Upper Guinea, that is found in southern Mauritania, Senegal, up to western Chad and northern Cameroon; Pycnonotus gabonensis, the bulbul of Gabon, that is found in central Nigeria and central Cameroon, up to Gabon and the south of Congo; the Egyptian bulbul, Pycnonotus barbatus arsinoe, also called the common bulbul of the Sahel, that is found in eastern, northern and central Chad and the eastern part of Egypt; there is also finally the Abyssinian bulbul, Pycnonotus barbatus schoanus, found in the south -eastern part of Sudan, west and east and central Ethiopia, and Eritrea.
The beak of the common bulbul is rather short and thin, with an upper mandible that has a descending slant. The beak, legs and feet are black, and the eyes are brown with an eye ring that is not immediately visible. The bird is 18cm, with a long tail, the head is brown, as are the upper body parts. The plumage is the same in both sexes. The common bulbul is a resident bird in a large part of Africa, and is found in woodland, coastal bush, forest edges, riverine bush, montane shrub, and in mixed farming thickets, as well as in exotic thickets, gardens and parks. It is a bird often seen in pairs or small groups, and is a conspicuous bird, often seen at the top of a bush. The common bulbul is an active and noisy bird. It is a bouncing bird, like the wood pecker, and nests throughout the year in moist tropical regions. Elsewhere, the bird has a breeding season that coincides with the onset of the rainy season. This species eats fruit, nectar, seeds and insects.
Lotfi Bouslah's photo of 12 December shows a pair of common bulbul, sitting side by side, very much at ease on a branch, in a green and sunny corner of a seaside bush, watching the world around them with a critical and alert eye, as if they felt quite happy to belong to the world of animals, and had their doubts about the human species, and the curiosity towards them on the part of the nature photographer, and also his interest in their presence. This nostalgic portrait of these amorous birds inspired me to research the concrete reality of monogamy in the world of birds. The research proved very interesting, because it seems there are two parts to the aspect of monogamy in their world :
there is social monogamy, and sexual monogamy, which means that the coupled birds stay together and faithful during the breeding season and the care of their offspring, and once this responsibility is accomplished, the couple separates and find other partners for the following breeding season. Sexual monogamy is much more rare, at about 10%, and is found primarily among geese, swans and eagles, who remain a sexual and social couple for life. With this said, birds show a loyalty and solidarity towards their babies that is becoming rather rare among human parents.
Male common bulbul are very gallant during the breeding season, and bring food to the female when she can no longer leave the nest and the eggs, and later, the baby birds, to feed herself, and the males also help bring food for the baby birds, and also help protect the nest and the baby birds from predators.
It seems the world of birds is more modern than was previously thought, but in their modern attitudes, they do not avoid their responsibilities as parents, which is quite admirable, seeing how a good number of modern humans equate modernity with irresponsibility when it comes to their children.
Trudi Ralston
The research on the world of the passerine bird, the common bulbul, Pycnonotus barbatus, and monogamy in the world of birds, courtesy of Wikipedia.
I am grateful to nature photographer Lotfi Bouslah for the identification of the common bulbul in his photo, as its identification proved quite a challenge. His astute help saved me hours of frustrating research.
The beak of the common bulbul is rather short and thin, with an upper mandible that has a descending slant. The beak, legs and feet are black, and the eyes are brown with an eye ring that is not immediately visible. The bird is 18cm, with a long tail, the head is brown, as are the upper body parts. The plumage is the same in both sexes. The common bulbul is a resident bird in a large part of Africa, and is found in woodland, coastal bush, forest edges, riverine bush, montane shrub, and in mixed farming thickets, as well as in exotic thickets, gardens and parks. It is a bird often seen in pairs or small groups, and is a conspicuous bird, often seen at the top of a bush. The common bulbul is an active and noisy bird. It is a bouncing bird, like the wood pecker, and nests throughout the year in moist tropical regions. Elsewhere, the bird has a breeding season that coincides with the onset of the rainy season. This species eats fruit, nectar, seeds and insects.
Lotfi Bouslah's photo of 12 December shows a pair of common bulbul, sitting side by side, very much at ease on a branch, in a green and sunny corner of a seaside bush, watching the world around them with a critical and alert eye, as if they felt quite happy to belong to the world of animals, and had their doubts about the human species, and the curiosity towards them on the part of the nature photographer, and also his interest in their presence. This nostalgic portrait of these amorous birds inspired me to research the concrete reality of monogamy in the world of birds. The research proved very interesting, because it seems there are two parts to the aspect of monogamy in their world :
there is social monogamy, and sexual monogamy, which means that the coupled birds stay together and faithful during the breeding season and the care of their offspring, and once this responsibility is accomplished, the couple separates and find other partners for the following breeding season. Sexual monogamy is much more rare, at about 10%, and is found primarily among geese, swans and eagles, who remain a sexual and social couple for life. With this said, birds show a loyalty and solidarity towards their babies that is becoming rather rare among human parents.
Male common bulbul are very gallant during the breeding season, and bring food to the female when she can no longer leave the nest and the eggs, and later, the baby birds, to feed herself, and the males also help bring food for the baby birds, and also help protect the nest and the baby birds from predators.
It seems the world of birds is more modern than was previously thought, but in their modern attitudes, they do not avoid their responsibilities as parents, which is quite admirable, seeing how a good number of modern humans equate modernity with irresponsibility when it comes to their children.
Trudi Ralston
The research on the world of the passerine bird, the common bulbul, Pycnonotus barbatus, and monogamy in the world of birds, courtesy of Wikipedia.
I am grateful to nature photographer Lotfi Bouslah for the identification of the common bulbul in his photo, as its identification proved quite a challenge. His astute help saved me hours of frustrating research.
Sunday, December 23, 2018
L'Echange : La Lune Courageuse de Djamil Diboune
Il y a toute une mythologie associee avec la lune. Elle inspire l'imagination humaine depuis longtemps. Les Azteques appellaient la lune Mictecacuiatl, et croyaient que'elle traversait le ciel la nuit chassant des victimes a manger. Le peuple Maori de la Nouvelle - Zelande appellait la lune " mangeuse d'hommes ", tandis qu'en ancienne Perse , la lune etait Metra, la mere de la terre. Certaines sectes grecques anciennes consideraient la lune le domicile des morts, et l'hinduisme ancien pensait que les ames des morts attendaient sur la lune le moment de leur reincarnation. Les Tartares de l'Asie Centrale appellaient la lune " La Reine de la Vie et de la Mort ". Les Inca de qui leur empire dominait la plupart de l'Amerique latine, croyaient que la lune et le soleil etaient les ancetres des rois et reines inca, et les Maya de la Guatemala utilisaient le symbole de la lune en association avec les noms de femmes nobles. Les grecs associaient la lune avec la deesse Artemis, la soeur du dieu Apollo. Le nom romain pour la lune etait Luna. Parfois, la lune est masculine, comme dans la culture Inuit de Groenland, l'ile la plus grande sur terre, qui se trouve entre les oceans Arctique et Atlantique. La mythologie scandinave parle de la lune comme fils, et du soleil comme fille, et Monsieur Lune et madame Soleil sont part de la folklore allemande. Il y aussi les legendes de l'homme dans la lune, qu'on pense est une reference ancienne au libre biblique des Numeros, et le lapin dans la lune est une idee de la mythologie chinoise et japonaise, un lapin qui s'occupe sur la lune en faisant un elixir d'immortalite. Aujourd'hui encore, la lune est associee avec certaines convictions et expressions, comme avoir la tete dans la lune, et d'etre un fou, le nom en anglais pour fou etant " lunatic ", et la superstition que pendant une lune pleine, les gens sont plus irritables et aggressives. Un des rock groupes le plus fameux, de fame et influence internationale depuis les annees 1970 , Pink Floyd, avait dans leur album de 1973, " The Dark Side of the Moon ", une chanson qui se refere a la folie en relation avec la lune, la chanson " Brain Damage ", la lune a donc une presence incontestable dans notre imagination culturelle populaire. La lune nous fascine toujours, sa beaute, son mystere, comme elle change de lune pleine a lune de croissant, elle change de couleurs, et a une influence sur les marees. C'est dit qu'on peut faire des voeux sur une lune pleine, comme on fait des voeux quand on voit la premiere etoile de la nuit, ou une etoile filante.
Hier, le photographe de la nature Djamil Diboune a partage une photo digne du mystere de la lune. Une photo qui est comme une peinture moderne, et qui me rappelle l'art du peintre allemand Emil Nolde ( 1867 - 1956 ), fameux pour etre un des premiers peintres a explorer la couleur, surtout les jaunes et rouges foncees, qui illuminaient les couleurs autrement sombres de beaucoup de ses toiles. Tout a fait comme la photo de Djamil Diboune, avec une lune jaune et un ciel noir, et le reflet rouge intense de la lune sur l'eau, avec le reste de l'eau aussi noire que le ciel. C'est une photo qui a des touches surrealistes a cause de la contradiction frappante de la couleur jaune de la lune et son reflet rouge dans l'eau, un defi artistique et intellectuel bien reussi. La photo etait en harmonie parfaite avec mon humeur de ce jour, un peu trouble, un peu rebelle, avec la fin de l'annee qui s'approche et l'etat douteux du monde. La photo de la lune pleine de Djamil Diboune etait une reflection de mes pensees, qui essayaient de rapprocher mes reves avec les limitations de mes circonstances, une bataille bien connue dans le monde des etres humains sur cette terre. La lune est jaune, son reflet rouge, quoi faire d'autre que rever jusqu'a ce que les deux couleurs s'entendent, s'harmonisent, et essayer de ne pas se frustrer trop comme la scene de la photo et ses couleurs qui sont un defi de logique, comme l'espoir, certains moments. Cette photo donne de l'espoir, de la facon envoutante qu'une belle piece d'art sait faire. Elle me dit de continuer de poursuivre mes reves, de ne pas ceder au doute, au cynisme et leurs trucs et leurs jeux de poudre aux yeux. C'est beau, ces moments de synchronicite entre amis, dans ces moments ou on n'est pas sur de rien, sauf le besoin d'un rayon de courage et de lumiere. C'est beau aussi, comme ces rayons me sont souvent regales de la part d'un(e) de mes ami(e)s en Kabylie, comme ce moment avec la lune courageuse du photographe de la nature Djamil Diboune, qui m'a inspire pas mal de beaux moments avec son art ces derniers 18 mois.
Trudi Ralston
La recherche sur la lune et sa mythologie dans la culture, courtoisie de Wikipedia, ainsi que l'information sur l'art du peintre allemand Emile Nolde.
Hier, le photographe de la nature Djamil Diboune a partage une photo digne du mystere de la lune. Une photo qui est comme une peinture moderne, et qui me rappelle l'art du peintre allemand Emil Nolde ( 1867 - 1956 ), fameux pour etre un des premiers peintres a explorer la couleur, surtout les jaunes et rouges foncees, qui illuminaient les couleurs autrement sombres de beaucoup de ses toiles. Tout a fait comme la photo de Djamil Diboune, avec une lune jaune et un ciel noir, et le reflet rouge intense de la lune sur l'eau, avec le reste de l'eau aussi noire que le ciel. C'est une photo qui a des touches surrealistes a cause de la contradiction frappante de la couleur jaune de la lune et son reflet rouge dans l'eau, un defi artistique et intellectuel bien reussi. La photo etait en harmonie parfaite avec mon humeur de ce jour, un peu trouble, un peu rebelle, avec la fin de l'annee qui s'approche et l'etat douteux du monde. La photo de la lune pleine de Djamil Diboune etait une reflection de mes pensees, qui essayaient de rapprocher mes reves avec les limitations de mes circonstances, une bataille bien connue dans le monde des etres humains sur cette terre. La lune est jaune, son reflet rouge, quoi faire d'autre que rever jusqu'a ce que les deux couleurs s'entendent, s'harmonisent, et essayer de ne pas se frustrer trop comme la scene de la photo et ses couleurs qui sont un defi de logique, comme l'espoir, certains moments. Cette photo donne de l'espoir, de la facon envoutante qu'une belle piece d'art sait faire. Elle me dit de continuer de poursuivre mes reves, de ne pas ceder au doute, au cynisme et leurs trucs et leurs jeux de poudre aux yeux. C'est beau, ces moments de synchronicite entre amis, dans ces moments ou on n'est pas sur de rien, sauf le besoin d'un rayon de courage et de lumiere. C'est beau aussi, comme ces rayons me sont souvent regales de la part d'un(e) de mes ami(e)s en Kabylie, comme ce moment avec la lune courageuse du photographe de la nature Djamil Diboune, qui m'a inspire pas mal de beaux moments avec son art ces derniers 18 mois.
Trudi Ralston
La recherche sur la lune et sa mythologie dans la culture, courtoisie de Wikipedia, ainsi que l'information sur l'art du peintre allemand Emile Nolde.
Saturday, December 22, 2018
The Council : Lotfi Bouslah's Mystic Gathering at Lake Akkar
It is always interesting to see a tableau, whether it be a painting or a photo, that catches us by surprise. Seeing Lotfi Bouslah of Lolo Pics's photo " Mirror Effect " shared today that is a tableau in bright green and blue colours of lake Akkar in Aokas, Bejaia, made me imagine I was at an art gallery, stepping back from this intriguing water scene. The photo is a peaceful scene that focuses on the reflection the water creates on the foreground, of the aquatic plants and trees on the other bank. The reflection invites meditation, pause, and this photo gets our attention because of the mystic line - up of the plants and the trees. We are face to face with a council of the spirits of these plants and trees, that have in the middle of the line - up a taller tree, the sage of the group. This sensation is intensified by the presence of the plant Cyperus, of the family Cyperaceae, of which there are about 700 species world wide. Their size varies quite a bit, with the smallest species having a height of 5cm, and the tallest species reaching a height of 5 meters. The popular name of this plant is papyrus, with the famous ancient species of Cyperus papyrus hadidii of a crucial historical significance, as it is from this plant that the ancient Egyptians made their famous thick paper, papyrus. This invention on behalf of the ancient Egyptians goes back 4000 years B.C. This ancient plant survives to this day, but is in danger of extinction, due to the destruction of its habitat of humid regions. As I grew up in Belgium and live in Washington State, this photo with this tall species of Cyperus, this cousin of the famous family of papyrus, is quite exotic. For 6000 years this plant and its famous ancestor have managed to survive, and now modern man risks to eradicate it from the planet. The line of trees making a queue behind the Cyperus plants seem almost immobile, not just physically, but spiritually, as if the council of trees had its grave doubts as to the survivability of its species and of the earth. The photo has a timeless quality, a calm dignity, in spite of a hint of disquiet. In that sense, the mirror reflection acquires a quality of profound contemplation, almost as if the water becomes a repository for the memory of the trees and the aquatic plants. This photo of Lotfi Bouslah underlines the marvelous capacity the nature photographer has to manage a sublime balance between an intimate and an universal narrative, a quality of his art I admire very much.
The other day, a person not necessarily well intentioned, asked me why I dedicate articles of study to specific photographs. I told them without any hesitation or resentment that I did so because it is very necessary in a world that has a lot of difficulty with the understanding of tradition and culture as spiritual manifestations. Everything stays on the surface. It is high time to take a step back and communicate once more from soul to soul. My articles on the photography of Djamil Diboune, of which there are 370 pages at this moment in several books, and on the photography of Chamy Tout Court and Kata Djabri, and on the efforts of the hiker group " Les Marcheurs " and on the cultural and sports efforts of " L'Association de Wilaya Tourisme et Culture " Les Randonneurs des Babors " and on the photography of Lotfi Bouslah of Lolo Pics, are a passionate and conscious effort on my part to wake up the world to the importance of feeling beauty, nature, culture, down to the most profound part of our soul, and to the importance of the capacity for respect and camaraderie towards our fellow man on this earth. This conversation started for me in the north of Algeria with my Berber friends, allowing me to discover a treasure of friendship, of nature's beauty, of generosity, of poetry, and a profound sense of community, hope, determination and courage. This article is also part of a memoir in honour of Algeria, of its history, its culture, and it is in memory also of my life and its perspective that is enriched by the perspectives the nature photography of my friends there allow me to appreciate and share. My articles are the testimony of my Flemish - French - American spirit and its odyssey of discovery of the nature of Algeria through the perspective of the soul and heart of its photographers blessed with marvelous sensibilities and intuitions. My articles and books and collections of poetry on the Berber photographers that have touched my soul and inspire my energy and my heart, are a way to unite the world, to start a dialogue, an interest, on everything that makes us understand we are all members of the same family, and that the only way to understand this truth, is to tell the story of each beautiful person we meet. In my case, I had the good fortune to be able to tell these beautiful stories of these beautiful people in my life through the nature and the unique friendships that destiny allowed me to discover in Algeria. There once was a Flemish woman, who left her country, lived in Texas for 10 years, who tried to find her way in Washington State, in Olympia, and who found in the nature and the nature photographers of Algeria the important melody and words for a very timely message for the world that risks losing its soul and heart to indifference, hostility, ignorance and cruelty. The photo of lake Akkar at Aokas, Bejaia, with its poignantly relevant title " Mirror effect " Lotfi Bouslah gave for the council of trees surrounded by the Cyperus plants, these solemn ancient guardians, is a beautiful introduction for a long overdue conversation on the essential and urgent importance to remember the true value of life : our humanity, that cannot survive if we do not understand that there is no " you " or "me ", or " them ", there is only " us ".
Trudi Ralston
The research on the symbolism of trees, and on the aquatic plant Cyperus, and on the species Cyperus papyrus subspecies hadidii, courtesy of Wikipedia.
The other day, a person not necessarily well intentioned, asked me why I dedicate articles of study to specific photographs. I told them without any hesitation or resentment that I did so because it is very necessary in a world that has a lot of difficulty with the understanding of tradition and culture as spiritual manifestations. Everything stays on the surface. It is high time to take a step back and communicate once more from soul to soul. My articles on the photography of Djamil Diboune, of which there are 370 pages at this moment in several books, and on the photography of Chamy Tout Court and Kata Djabri, and on the efforts of the hiker group " Les Marcheurs " and on the cultural and sports efforts of " L'Association de Wilaya Tourisme et Culture " Les Randonneurs des Babors " and on the photography of Lotfi Bouslah of Lolo Pics, are a passionate and conscious effort on my part to wake up the world to the importance of feeling beauty, nature, culture, down to the most profound part of our soul, and to the importance of the capacity for respect and camaraderie towards our fellow man on this earth. This conversation started for me in the north of Algeria with my Berber friends, allowing me to discover a treasure of friendship, of nature's beauty, of generosity, of poetry, and a profound sense of community, hope, determination and courage. This article is also part of a memoir in honour of Algeria, of its history, its culture, and it is in memory also of my life and its perspective that is enriched by the perspectives the nature photography of my friends there allow me to appreciate and share. My articles are the testimony of my Flemish - French - American spirit and its odyssey of discovery of the nature of Algeria through the perspective of the soul and heart of its photographers blessed with marvelous sensibilities and intuitions. My articles and books and collections of poetry on the Berber photographers that have touched my soul and inspire my energy and my heart, are a way to unite the world, to start a dialogue, an interest, on everything that makes us understand we are all members of the same family, and that the only way to understand this truth, is to tell the story of each beautiful person we meet. In my case, I had the good fortune to be able to tell these beautiful stories of these beautiful people in my life through the nature and the unique friendships that destiny allowed me to discover in Algeria. There once was a Flemish woman, who left her country, lived in Texas for 10 years, who tried to find her way in Washington State, in Olympia, and who found in the nature and the nature photographers of Algeria the important melody and words for a very timely message for the world that risks losing its soul and heart to indifference, hostility, ignorance and cruelty. The photo of lake Akkar at Aokas, Bejaia, with its poignantly relevant title " Mirror effect " Lotfi Bouslah gave for the council of trees surrounded by the Cyperus plants, these solemn ancient guardians, is a beautiful introduction for a long overdue conversation on the essential and urgent importance to remember the true value of life : our humanity, that cannot survive if we do not understand that there is no " you " or "me ", or " them ", there is only " us ".
Trudi Ralston
The research on the symbolism of trees, and on the aquatic plant Cyperus, and on the species Cyperus papyrus subspecies hadidii, courtesy of Wikipedia.
Friday, December 21, 2018
For as Long as there is Light : The Compassionate Sun of Lotfi Bouslah
Lebanese - American writer and poet Kahlil Gibran said these words in his 1923 book " The Prophet " on the subject of talking : " You speak when you seize to be at peace with your thoughts. " Perhaps this explains the need we have as humans to seek the silence nature so often offers us. Nature calms us, speaks to us, without words, in a language that encourages, that heals , that understands. She has this way to inspire us with her beauty, her majesty, her generosity, her wisdom. A soul sensitive to these virtues is capable of expressing these virtues through art.
Nature photographer Lotfi Bouslah of Lolo Pics is such a soul, an artist who understands the language of silence. Blessed with a generous nature and an open and tolerant heart, Lotfi Bouslah shared a photo on December 8th, with the group Mer, Montagne, Nature, that is a precious example of this capacity to communicate nature's profound spirit. It is a photo of a sunset on the beach of Azemour at Aokas, Bejaia, with the title " While the sun said to me see you later. " It is a touching scene because of the moment chosen, the moment when the ball of white fire of the sun gliding behind the dark horizon on the other bank, paints the Persian blue - grey water of the beach with a large vertical band of glittering gold light. The sky behind the white sun is a clear blue, that wraps itself around the sun in a generous gesture of the night that approaches. The golden light on the water of the beach is an enchanting presence, one would think that it is a part of the sun's spirit that floats like a shimmering text of an ancient poem on the night waters, sharing its mysteries. The sun exchanges his warmth of the day for the cold and uncertainty of the black night, but he leaves us with the gift of his golden light reflected in the water, parched for his beauty and his passion. It is a very beautiful photo, that as is often the case with the photos of Lotfi Bouslah, tells a story that invites the imagination and a rich and complex reverie. One imagines the richness of a fairy tale, a story of courage and triumph on behalf of two lovers separated by the laws of nature during the day, that attain magical powers with the arrival of sunset. It is the fairy tale of the water nymph Naiada, who bathes every evening in the golden light so that her lover the sun can take her with him before night fall. The sun waits impatiently for the nymph, because the sky demands the rule of night, and the sun gives as much of his golden light as possible, his heart anxious in case the nymph Naiada does not arrive in time, and the night devours what is left of the enchanted light. The nymph manages to evade her jealous suitor, who has found out about her love for the sun, and Naiada arrives just in time to receive the golden light and to melt into the arms of the setting sun. At dawn, the nymph finds herself alone once more, and waits until the arrival of the golden light of her lover the sun, so he can bring fire to the water of the sunset, to allow the nymph to unite herself with him like the night before, with his golden light and his shimmering flowing passion. The colours of this photograph are magnificent, I think of the famous painting of the Austrian painter Gustav Klimt, " The Kiss ". The reflection in the water of the setting sun's light seems painted in the same way, in gold leaf, on the smooth blue surface of the water. The sun reflected in the water has as its most notable symbolism the power of purification and transformation, like in my fairy tale, where the water nymph is transformed and absorbed into the energy and the passion of the sun, and where the water and the fire unite thanks to the trans formative courage of love. The dominant colours of gold and Persian blue - grey make me think of the 1889 painting " Starry Night " of the Dutch painter Vincent van Gogh ( 1853 - 1890 ). " Starry Night " is also dominated by these two colours, and is a painting that like the photo of Lotfi Bouslah vibrates with the agony and ecstasy of passion. In both cases, light battles against the dark, in the case of the painting by Vincent van Gogh, it is the moon that defends against the dark, and in the case of Lotfi Bouslah's photo, it is the sun that hurries to gain the advantage over the night. It is striking, this similarity in energy and passion in both examples : a Dutch painter with the soul of a tortured genius, and a Berber nature photographer, who also has the soul of a passionate genius, separated by more than a hundred years, but united in vision and love for their art.
As long as there is light, seems to be the philosophy of Lotfi Bouslah, who is the age Vincent van Gogh was at the height of his artistic creativity. There is a stubborn conviction in the art of both artists : it is art that saves from ourselves, the madness of the world will never touch the purity of the creative soul who surrenders his soul and body to the passion of his vision. During his brief tortured life, Vincent van Gogh looked for peace in the rural nature of the Provence in France. The intense soul and heart of Lotfi Bouslah find peace and meaning in his vibrant and unique photos of Algeria's nature's generosity, and knows how to communicate this artistic and emotional balance that eluded the Dutch artist. May the sun and the moon always agree, like in a happy fairy tale, and continue to bless the vibrant creative soul and heart of the nature photographer.
Trudi Ralston
The research on the symbolism of the sun on water, on the Dutch painter Vincent van Gogh, and on the water nymphs of Greek mythology, courtesy of Wikipedia.
The fairy tale of the water nymph Naiada, courtesy of my literary imagination. The name Naiada is derived form the fact that the water nymphs in Greek mythology were named Naiades.
Nature photographer Lotfi Bouslah of Lolo Pics is such a soul, an artist who understands the language of silence. Blessed with a generous nature and an open and tolerant heart, Lotfi Bouslah shared a photo on December 8th, with the group Mer, Montagne, Nature, that is a precious example of this capacity to communicate nature's profound spirit. It is a photo of a sunset on the beach of Azemour at Aokas, Bejaia, with the title " While the sun said to me see you later. " It is a touching scene because of the moment chosen, the moment when the ball of white fire of the sun gliding behind the dark horizon on the other bank, paints the Persian blue - grey water of the beach with a large vertical band of glittering gold light. The sky behind the white sun is a clear blue, that wraps itself around the sun in a generous gesture of the night that approaches. The golden light on the water of the beach is an enchanting presence, one would think that it is a part of the sun's spirit that floats like a shimmering text of an ancient poem on the night waters, sharing its mysteries. The sun exchanges his warmth of the day for the cold and uncertainty of the black night, but he leaves us with the gift of his golden light reflected in the water, parched for his beauty and his passion. It is a very beautiful photo, that as is often the case with the photos of Lotfi Bouslah, tells a story that invites the imagination and a rich and complex reverie. One imagines the richness of a fairy tale, a story of courage and triumph on behalf of two lovers separated by the laws of nature during the day, that attain magical powers with the arrival of sunset. It is the fairy tale of the water nymph Naiada, who bathes every evening in the golden light so that her lover the sun can take her with him before night fall. The sun waits impatiently for the nymph, because the sky demands the rule of night, and the sun gives as much of his golden light as possible, his heart anxious in case the nymph Naiada does not arrive in time, and the night devours what is left of the enchanted light. The nymph manages to evade her jealous suitor, who has found out about her love for the sun, and Naiada arrives just in time to receive the golden light and to melt into the arms of the setting sun. At dawn, the nymph finds herself alone once more, and waits until the arrival of the golden light of her lover the sun, so he can bring fire to the water of the sunset, to allow the nymph to unite herself with him like the night before, with his golden light and his shimmering flowing passion. The colours of this photograph are magnificent, I think of the famous painting of the Austrian painter Gustav Klimt, " The Kiss ". The reflection in the water of the setting sun's light seems painted in the same way, in gold leaf, on the smooth blue surface of the water. The sun reflected in the water has as its most notable symbolism the power of purification and transformation, like in my fairy tale, where the water nymph is transformed and absorbed into the energy and the passion of the sun, and where the water and the fire unite thanks to the trans formative courage of love. The dominant colours of gold and Persian blue - grey make me think of the 1889 painting " Starry Night " of the Dutch painter Vincent van Gogh ( 1853 - 1890 ). " Starry Night " is also dominated by these two colours, and is a painting that like the photo of Lotfi Bouslah vibrates with the agony and ecstasy of passion. In both cases, light battles against the dark, in the case of the painting by Vincent van Gogh, it is the moon that defends against the dark, and in the case of Lotfi Bouslah's photo, it is the sun that hurries to gain the advantage over the night. It is striking, this similarity in energy and passion in both examples : a Dutch painter with the soul of a tortured genius, and a Berber nature photographer, who also has the soul of a passionate genius, separated by more than a hundred years, but united in vision and love for their art.
As long as there is light, seems to be the philosophy of Lotfi Bouslah, who is the age Vincent van Gogh was at the height of his artistic creativity. There is a stubborn conviction in the art of both artists : it is art that saves from ourselves, the madness of the world will never touch the purity of the creative soul who surrenders his soul and body to the passion of his vision. During his brief tortured life, Vincent van Gogh looked for peace in the rural nature of the Provence in France. The intense soul and heart of Lotfi Bouslah find peace and meaning in his vibrant and unique photos of Algeria's nature's generosity, and knows how to communicate this artistic and emotional balance that eluded the Dutch artist. May the sun and the moon always agree, like in a happy fairy tale, and continue to bless the vibrant creative soul and heart of the nature photographer.
Trudi Ralston
The research on the symbolism of the sun on water, on the Dutch painter Vincent van Gogh, and on the water nymphs of Greek mythology, courtesy of Wikipedia.
The fairy tale of the water nymph Naiada, courtesy of my literary imagination. The name Naiada is derived form the fact that the water nymphs in Greek mythology were named Naiades.
A Wishful Harmony : The Pas de Deux of Lotfi Bouslah's Seagulls
Yesterday, nature photographer Lotfi Bouslah of Lolo Pics shared a photo that left me transfixed by its incredible artistic precision, when it comes to composition, lines and colours. The photo shows two seagulls in flight, of the beautiful species of seagulls Larus ridibundus, that is known by the popular name of laughing seagull, so named for their joyous cry. Seagulls are in the family Laridae, of which there are 10 genus, which is the category before species, and in this family of 10 genus, there are 55 species, which is the category after genus. The laughing seagull species is striking in this big group, because of the beauty of its finely drawn colours. This seagull measures between 33 and 44cm, with a wingspan of between 89 - 105cm. In summer, the adults have a brown head, but in winter this brown colour disappears, leaving just a dark vertical line behind the eyes, and this dark vertical winter line is very visible in the two seagulls of Lotfi Bouslah's photo. In English, this seagull is called the Blackheaded seagull, which is incorrect, because the colour of the head in summer is brown, not black. This seagull passes the breeding season in Europe and Asia, and passes winter in the more southern regions, like North Africa. This seagull has a pretty white tail that opens up like a fan, and wings and a body that are a pale grey, with black tips on the primary wings. The beak is red with a black tip, and the legs too, are red. It is a very elegant bird. Lotfi Bouslah's photo knows how to accentutate and maximize this beauty, by showing us the two seagulls in flight, side by side, like two dancers, ballerino and ballerina, in a moment of perfect synchronicity, facing forward, a sublime moment of total concentration on the part of the seagulls, who the nature photographer has managed to give a bewitching flair with the subtle allusion of a blue shadow around the eyes of the birds, which adds a dramatic energy to this inimitable pas de deux. It is a photo that fascinates because it has all the elements perfectly aligned, it is a unique visual masterpiece, almost in defiance of the laws of speed, time and space, with the wings of one of the seagulls ascending, and the wings of the other seagull descending, just like a moment of a carefully choreographed ballet. Bravo, bravissimo to photographer Lotfi Bouslah! It is a photograph that makes one dream, on the rarity in life of magical moments, in love, in friendship, where the universe favours us, and how one must appreciate these pauses that the stars and their whims allow us from time to time, which put us briefly outside of the limitations and laws of ordinary reality. One imagines oneself at the scene of a beautiful Russian ballet, with the magic of the colours and the artistic movement on the part of the dancers at the moment of the apotheosis of the dance, with all the elements of music, passion, drama, light, costumes, make - up, perfection of the dance, with the artistic and physical harmony between the dancers at a 100%, and us, the public, breathless witnesses to this magnificent apotheosis of a beauty with surreal touches. Photography is an art, there you have once more the unquestionable evidence with this completely bewitching and unforgettable photograph.
Trudi Ralston
The research on the world of the seagulls and the seagull Larus ridibundus, courtesy of Wikipedia.
Trudi Ralston
The research on the world of the seagulls and the seagull Larus ridibundus, courtesy of Wikipedia.
Thursday, December 20, 2018
When the Moon broke the Sound Barrier : The Blue Crescent Moon of Lotfi Bouslah
This morning, before the sunrise, everything outside was covered with a coat of frost, reflecting a white and brilliant light under a sky that was sprinkled with stars. It was wonderful to discover a few hours later, a splendid photo of a crescent moon taken at morning time by nature photographer Lotfi Bouslah of Lolo Pics, at his home of Aokas, in Northern Algeria. In the middle of an ultra - marine blue sky, suspended like a jewel sculpted of pure crystal, the photo of the morning crescent moon so well chiseled, gave me the desire to want to touch it. I could not resist the idea that if I could touch this crescent moon, it would ring like a bell, with a pure, clear and profound sound, like the Tibetan cymbals, the Tingsha. These cymbals are used as an invocation to meditation and are considered a symbol of protection by the gods. Their sound wants to inspire mindfulness, a precept of Tibetan philosophy that focuses on the present, trying to instill the courage to let go of the past and its challenges, and not to be obsessed with the anxieties of the future. Their long and deep sound also wants to communicate the importance of balance between the masculine precept of compassion and the feminine precept of wisdom. In our garden here in Olympia, we have hanging under the eves, several chimes that imitate the sound of Tibetan cymbals, a very calming and melodious sound. The photo of the chiseled crescent moon of Lotfi Bouslah imitates that spiritual ancient and reassuring sound. The nature photographer has managed to create this moment of hypnotizing beauty with just two colours : a delicate white of the morning crescent moon and of his elegant artist's signature in the lower right hand corner of the photo, and the ultra - marine blue of the sky, a colour that is made from lapis lazuli, and of which there is just a hint of on the surface of the finely sculpted crescent moon. It is always intriguing and an exquisite privilege when an artist allows us their vision on a subject, and wen it comes to this sublime crescent moon, these words on behalf of the photographer of Lolo Pics in answer to my observation about his photo fascinate me : " You're right, Trudi. How I wish to touch it, let it ring and fall down into earth. It would rain melodies for a billion years. " What a marvelous and powerful image for the world that in this moment of anguish and troubling doubts has such a need for an abundance of joy and compassion and wisdom. It is moving to imagine this hope coming form the immense bell of the crystal crescent moon of Lotfi Bouslah, and to imagine this moon singing loudly and with power its magnificent and healing melodies all over the world.
Trudi Ralston
The research on the Tibetan cymbals, the Tingsha, and their spiritual importance, courtesy of Wikipedia, as well as the article by Buffy Naillon, " The Meaning of Burning Incense and Ringing Bells in Buddhism ", of June 27th, 2018.
Trudi Ralston
The research on the Tibetan cymbals, the Tingsha, and their spiritual importance, courtesy of Wikipedia, as well as the article by Buffy Naillon, " The Meaning of Burning Incense and Ringing Bells in Buddhism ", of June 27th, 2018.
La Dame en Rouge : L'Araignee Cheiracanthium de Djamil Diboune
Djamil Diboune est un photographe de la nature qui a aussi l'esprit de l'explorateur. Il n'est pas intimide par les creatures qui inspirent la peur, comme les arachnides et leur monde. Le monde des araignees est immense, avec 35000 especes identifiees dans l'ordre de Araneae avec 3 sub - ordres divises en 70 familles. Hier, Djamil Diboune a partage une photo d'une araignee, avec la tete et les pattes rouges, et l'abdomen jaune, une araignee de la classe de Arachnida, de la famille d'arachnides Eutichuridae dans le genus ou groupe de Cheiracanthium, qui a 194 especes. Les especes dans ce groupe se trouvent surtout en Europe, et une grand partie des especes se trouvent dans le nord de l'Europe jusqu'au Japon, et de l'Afrique du Sud jusqu'a l'Inde et l'Australie. Il existe juste 2 especes aux Nouveau Monde, Cheiracanthium inclusum et Cheiracanthium mildei. C. inclusum se trouve aussi en Afrique et l'isle de Reunion dans l'ocean indien, et C. mildei se trouve dans la region Holarctique, ce qui comprend l'Afrique du Nord et l'Eurasie, et on la trouve aussi en Argentine; et les deux especes se trouvent aussi dans la Colombie britannique. Le groupe de cette araignee est bien diversifie en Afrique, avec par example au moins 3 ou 4 especes qu'on a trouve dans les champs de coton en Egypte. La photo de l'araignee exotique au couleur rouge intense est un bel example de la diversite de cette espece en Afrique, qui normalement a une couleur plutot pale. Cheiracanthium comme araignee a certaines caracteristiques bien uniques. Les deux pattes de front sont plus longues que les autres pattes, et les pattes sont assez minces, et n'ont pas l'apparence musculaire que si souvent ont les araignees. Les bouts des pattes de cette araignee sont noirs, une couleur qui s'explique par des petits poils noirs qui couvrent les pieds. Ces poils permettent a l'araignee de monter verticalement avec facilite. Ces araignees sont bien petites, a 1cm, y compris les pattes. Elles ont aussi 8 oeils, tous de la meme taille, et la couleur de l'araignee varie avec la region de leur habitat. Elles ont aussi ce qui est appellee une marque de coeur, une ligne foncee qui monte et descend au milieu de l'abdomen et qui est pres d'ou ce trouve le coeur de l'araignee. Ces araignees ne font pas de toiles, elles construisent des sac de soie a l'aube, dans lesquels elles dorment chacque jour, comme elles sont nocturnes et chassent leur proie la nuit. On peut les trouver cachees dans leur sac de soie, enroulees dans une feuille ou sous des brindilles et buches. C'est de la qu'elles ont leur nom populaire de " yellow sac spider " en anglais, " l'araignee sac jaune " qui est une traduction du mot grec cheiracanthe, le nom populair en francais de cette araignee.
La mordure de cette araignee peut etre penible, mais n'est pas mortelle pour les etres humains. La rumeur que sa mordure cause de la necrose, n'est pas confirmee, mais a cause de la possibilite que sa mordure cause de la necrose, on advise ses victimes de trouver de l'aide medicale pour eviter une infection MRSA, ce qui est une infection cause par un type de bacterie, Staphylococcus, qui resiste beaucoup de traitements d'antiobiotiques, et qui est une infection tres contagieuse, qui peut se transmettre a travers le contact direct avec une personne infectee, et meme en touchant les surfaces qu'a touchee une personne infectee avec MRSA. MRSA peut causer des complications serieuses comme la pneumonie et les infections sanguines. On peut avoir des mordures penibles des especes Cheiracanthium punctorium et Cheiracanthium mildei de l'Europe, et C. mildei et C. inclusum des Ameriques, et C. lawrencei de l'Afrique du Sud, et C. japonicum du Japon. C'est donc une araignee avec laquelle il faut mieux d'etre prudent. Comme l'araignee de la photo de Djamil Diboune, cette belle aux pattes rouges exotiques, est une creature a mefier et admirer a distance, juste pour etre sur. Elle a apparemment besoin de recherches supplementaires. Comme explorateur de la nature, Djamil Diboune a le sang froid qui lui permet d'etudier les araignees de proche sans compromettre sa securite, et ses multiples albums de leur variete fascinante en sont temoins, ainsi que tous mes articles depuis juin 2017 dediques a ses efforts de partager la faune fascinante de son pays l'Algerie.
Trudi Ralston
La recherche sur l'univers des araignees et specifiquement sur Cheiracanthium, courtoisie de Wikipedia.
La mordure de cette araignee peut etre penible, mais n'est pas mortelle pour les etres humains. La rumeur que sa mordure cause de la necrose, n'est pas confirmee, mais a cause de la possibilite que sa mordure cause de la necrose, on advise ses victimes de trouver de l'aide medicale pour eviter une infection MRSA, ce qui est une infection cause par un type de bacterie, Staphylococcus, qui resiste beaucoup de traitements d'antiobiotiques, et qui est une infection tres contagieuse, qui peut se transmettre a travers le contact direct avec une personne infectee, et meme en touchant les surfaces qu'a touchee une personne infectee avec MRSA. MRSA peut causer des complications serieuses comme la pneumonie et les infections sanguines. On peut avoir des mordures penibles des especes Cheiracanthium punctorium et Cheiracanthium mildei de l'Europe, et C. mildei et C. inclusum des Ameriques, et C. lawrencei de l'Afrique du Sud, et C. japonicum du Japon. C'est donc une araignee avec laquelle il faut mieux d'etre prudent. Comme l'araignee de la photo de Djamil Diboune, cette belle aux pattes rouges exotiques, est une creature a mefier et admirer a distance, juste pour etre sur. Elle a apparemment besoin de recherches supplementaires. Comme explorateur de la nature, Djamil Diboune a le sang froid qui lui permet d'etudier les araignees de proche sans compromettre sa securite, et ses multiples albums de leur variete fascinante en sont temoins, ainsi que tous mes articles depuis juin 2017 dediques a ses efforts de partager la faune fascinante de son pays l'Algerie.
Trudi Ralston
La recherche sur l'univers des araignees et specifiquement sur Cheiracanthium, courtoisie de Wikipedia.
Tuesday, December 18, 2018
L'Arbre Mort Enchante de Djamal Merabti : Les Benefices de l'Esprit Tenace
On dit parfois que si vous pouvez l'imaginer, vous pouvez le realiser. Une attitude positive a une facon de resoudre des problemes qui autrement resteraient des puzzles ou des irritations irresolues. Une personne a l'esprit optimiste surement est de la compagnie plus agreable qu'une personne au temperament sombre. Cette semaine Djamal Merabti du groupe energique Association de Wilaya Tourisme et Culture " Les Randonneurs des Babors " a partage une photo d'un arbre mort, qui se parait a une sculpture, a une piece d'art bien reussie. Cette photo etait prise pendant la randonnee du groupe le 15 decembre, et a premiere impression on n'est pas sure si c'est une photo d'un arbre mort, ou d'une sculpture en bois d'un bouc energique avec les pattes de front en l'air, et la tete tournee vers nous, le regard defiant et plein de confiance. Cet effet d'une sculpture est augmente par le fait que le passage du temps a depouille l'arbre mort de la plupart de son ecorce, mais il y a quelques places ou l'ecorce est encore visible et cet effet donne l'impression de "pattes " de front solides et d'une tete et des cornes impressionantes. L'impression est d'une sculpture d'un bouc resistant, determine, tetu, comme si l'arbre etait enchante et devenu un esprit des montagnes, qui avait ete transforme en bouc qui a n'importe quel moment pourrait bondir sur notre chemin pour apres s'echapper dans la vallee. Cet arbre mort a une presence vitale bien unique. Cela m'a fait penser a une statue de 1950 de l'artiste espagnol Pablo Picasso, une statue en bronze d'une chevre, qui etait une celebration de la vie, de l'espoir apres la fin de la segonde guerre mondiale. Apparemment, la chevre est un symbole dans l'art depuis des milliers d'annees, et je pense a une tres belle fontaine en Chine, a Ghangzhou, de 5 beliers. Les chevres sont parmi les animaux les plus anciens pour etre domestiques, avec de l'evidence remontant a plus de 10000 ans, et les premieres instances de leur domestication se trouvent a Ganj Dareh en Iran. Les chevres depuis donnent du lait, de la viande, de la laine, comme la laine fameuse des chevres du Cachemire, et la laine des chevres Angora. On fait aussi du fromage de leur lait, et la peau de chevre etait utilise pour des bouteilles de l'eau et de vin, et pour le transport de vin en vente, et aussi pour produire de parchemin. Les chevres ont une curiosite naturelle, et sont aussi des animaux intelligents, qui sont capables d'etablir des liens avec leur maitre, comme en sont capables les chiens, qui eux aussi sont domestiques depuis des milliers d'annees. Cette capacite de la part des chevres on a decouvert en 2015, dans une etude anthrozoologique japonaise, a des benefices sociales et emotionelles mutuelles pour les animaux et les etres humains, quant a reduction de stress et une augmentation dans un sens de bien - etre, une raison de plus pour traiter bien aux animaux domestiques. De plus en plus de personnes choisissent la chevre comme un animal de compagnie specifiquement pour leurs traits d'intelligence et leur caractere curieux et joueur, malgre le fait que ce sont des animaux un peu rebelles. Comme les chevres sont des animaux de troupeau, et malgre le fait qu'ils preferent la compagnie d'autres chevres, ils suivent leurs proprietaires humains et forment des liens proches avec eux. Les chevres et les moutons sont souvent eleves ensemble, comme ils choisissent chacuns de la nourriture differente dans les memes paturages, donc il n'y a pas de la concurrence entre eux pour les ressources nutritives, une methode d'elevage utilise en Afrique et le Moyen Orient. Les chevres sont utilises de plus en plus pour manger et ainsi enlever de la vegetation indesirable, une technique qu'on emploie ici dans le Nord - ouest pacifique des Etats Unis, pour des epeces de plantes invasives difficiles a enlever, comme la mure epineuse et le sumac veneneux.
Les chevres ont une influence sur la culture et la civilization humaine depuis des millieres d'annees. Des archeologues ont trouve pendant une excavation de la ville ancienne de Ebla en Syrie, le tombeau d'un roi ou d'une personne de la noblesse qui avait un trone decore avec des tetes de chevre en bronze, et dans la mythologie norse, le dieu du tonnere, Thor, a un char tire par des chevres. Dans l'astrologie chinoise, la chevre est un des animaux du cycle de 12 ans du calendrier, et ceux nes sous le signe de la chevre sont predits etre timide, introvert, creatif et perfectionniste. Les faunes sont des creatures de la mythologie ancienne romaine qui sont mi humain, mi caprin. Donc, la chevre est un animal avec une signification culturelle ancienne, et une importance agriculturelle et economique qui continue jusqu'a aujourd'hui.
La photo de l'arbre mort qui parait une sculpture frappante d'un bouc energique et sur de soi qu'a partage l'oeil observant de Djamal Merabti, me parait tres a propos avec l'esprit independant et determine et plein d'initiatives, du groupe culturel et sportif Association de Wilaya Tourisme et Culture " Les Randonneurs des Babors ". J'admire leur energie et vision, de partager la beaute de la nature et de la culture en Algerie a travers des randonnees qui donnent une impression et experience concrete et sincere pour les visiteurs et lecteurs de leurs aventures et explorations. C'est admirable, d'avoir une vision positive, supportee par un esprit de camaraderie et sincerite, de curiosite pour l'histoire, et la nature dans le contexte de l'histoire et de la culture, de vouloir mettre l'attention aux possibilites d'un tourisme valable en Algerie - un pays qui a une nature magnifique - qui inspire la fierte et la dignite nationale et sociale. Il y a beaucoup de pessimisme dans le monde, de fatalisme, de concurrence, mais c'est tellement plus interessant de voir des personnes qui decident de se mettre au travail pour l'accomplissement d'un but, un pas a la fois, convaincu que c'est en forgeant qu'on devient forgeon. Le groupe est bien organise, a du charisme de la part de ses leaders et de ses membres. Je leur souhaite tout le mieux, et c'est toujours un plasir d'ecrire un article louant leurs efforts et enthousiasme.
La photo du bois sculpte qu'est devenu l'arbre mort, qui rappelle un bouc plein de determination et dignite, est un beau symbole de l'esprit entrepreneur du groupe, qui celebre toujours les benefices de l'esprit tenace.
Trudi Ralston
La recherche sur l'histoire de la presence et importance des chevres dans la culture et la civilisation humaine, courtoisie de Wikipedia.
Les chevres ont une influence sur la culture et la civilization humaine depuis des millieres d'annees. Des archeologues ont trouve pendant une excavation de la ville ancienne de Ebla en Syrie, le tombeau d'un roi ou d'une personne de la noblesse qui avait un trone decore avec des tetes de chevre en bronze, et dans la mythologie norse, le dieu du tonnere, Thor, a un char tire par des chevres. Dans l'astrologie chinoise, la chevre est un des animaux du cycle de 12 ans du calendrier, et ceux nes sous le signe de la chevre sont predits etre timide, introvert, creatif et perfectionniste. Les faunes sont des creatures de la mythologie ancienne romaine qui sont mi humain, mi caprin. Donc, la chevre est un animal avec une signification culturelle ancienne, et une importance agriculturelle et economique qui continue jusqu'a aujourd'hui.
La photo de l'arbre mort qui parait une sculpture frappante d'un bouc energique et sur de soi qu'a partage l'oeil observant de Djamal Merabti, me parait tres a propos avec l'esprit independant et determine et plein d'initiatives, du groupe culturel et sportif Association de Wilaya Tourisme et Culture " Les Randonneurs des Babors ". J'admire leur energie et vision, de partager la beaute de la nature et de la culture en Algerie a travers des randonnees qui donnent une impression et experience concrete et sincere pour les visiteurs et lecteurs de leurs aventures et explorations. C'est admirable, d'avoir une vision positive, supportee par un esprit de camaraderie et sincerite, de curiosite pour l'histoire, et la nature dans le contexte de l'histoire et de la culture, de vouloir mettre l'attention aux possibilites d'un tourisme valable en Algerie - un pays qui a une nature magnifique - qui inspire la fierte et la dignite nationale et sociale. Il y a beaucoup de pessimisme dans le monde, de fatalisme, de concurrence, mais c'est tellement plus interessant de voir des personnes qui decident de se mettre au travail pour l'accomplissement d'un but, un pas a la fois, convaincu que c'est en forgeant qu'on devient forgeon. Le groupe est bien organise, a du charisme de la part de ses leaders et de ses membres. Je leur souhaite tout le mieux, et c'est toujours un plasir d'ecrire un article louant leurs efforts et enthousiasme.
La photo du bois sculpte qu'est devenu l'arbre mort, qui rappelle un bouc plein de determination et dignite, est un beau symbole de l'esprit entrepreneur du groupe, qui celebre toujours les benefices de l'esprit tenace.
Trudi Ralston
La recherche sur l'histoire de la presence et importance des chevres dans la culture et la civilisation humaine, courtoisie de Wikipedia.
Monday, December 17, 2018
Les Arbres Hivernals de Djamil Diboune : Quand la Communaute est Tout
Il y a quelques jours, le photographe de la nature Djamil Diboune est retourne du sud, et a partage un album de 30 photos le 15 decembre. Apres un an et demi d'etudier et ecrire sur ses photos, visiter les albums du photographe sont comme une promenade sur un chemin bien connu et accueillant.
La 27 ieme photo de cet album est de deux arbres cote a cote. C'est une photo qui surprend par sa simplicite desarmante, et qui a comme sujet un arbre grand, avec a son cote, un autre arbre, la moitie de la taille de l'arbre grand. Il y a un lien entre les deux arbres, une complicite emouvante, comme si les deux arbres se communiquent en savourants la compagnie de l'autre, sous le guise d'une intuition et langage spirituel. Cette observation parait un passage d'un conte de fee, mais on sait maintenant que les arbres partagent ressources comme de l'eau, carbone, et nutriments, dependants de leurs besoins. Suzanne Simard, une ecologiste forestiere, et ses collegues a l'Universite de la Colombie britannique, ont decouvert un reseau souterrain de connexions de fungi qui connectent les arbres et les plantes d'un ecosysteme. Ce systeme de symbiose etait decouvert par Suzanne Simard quand elle observait des fils blancs et jaunes brillants sur le sol de la foret. Beaucoup de ces fungi etaient mycorrhizien, ce qui veut dire qu'ils ont une relation symbiotique avec une plante hote, dans ce cas, les racines d'arbres. Les arbres grands aident ainsi les arbres jeunes a travers ces reseaux fungiques. Sans cette aide, beaucoup des jeunes plantes ne survivraient pas. Il y des arbres, nommes des arbres " Mother Trees ", qui ont le role de superviser la distribution de ses ressources pour tous les arbres d'une communaute de plantes. Suzanne Simard et ses collegues pensent que ces connexions sont une sorte de communication electrochimique entre les racines des arbres. Cette decouverte aura possiblement des benefices quant au respect pour les forets qui sont deja sous beaucoup de tension, avec le changement du climat, et la pollution et l'empietement de l'habitat. La photo de Djamil Diboune des deux arbres lies par une sorte de connexion profonde, a un impacte emouvant. Ils transfixent malgre l'austerite hivernale de leur apparence. Dans mes livres sur la photographie de Djamil Diboune, " Une Encyclopedie de Beaute " et " Le Secret Heureux d'Ulysse " il y a plusieurs articles sur la complexite cuturelle et biologique des arbres et des fungi, comme le photographe de la nature a plusieurs albums magnifiques dediques aux arbres et fungi de la Kabylie. Cette photo souligne la fascination durable de Djamil Diboune pour les arbres de son pays, pour leur spiritualite, leur importance historique, leur pouvoir spirituelle et leur importance ecologique. C'est une photo sobre, et aussi tres tendre, le grand arbre et le jeune arbre, unis pour la vie. Il y a des destins pires. Un sens de communaute malgre des circonstances difficiles rend tolerable beaucoup de chagrins. C'est un beau enseignement que nous donne cette photo emblematique de l'art souvent discret de Djamil Diboune.
Trudi Ralston
La recherche sur la communication electrochimique des arbres et plantes, courtoisie de Suzanne Simard, www.ecology.com, Oct. 08, 2012 et BBC earth, " Plants talk to each other using an internet of fungus ", par Nic Fleming, 11 November 2014.
La 27 ieme photo de cet album est de deux arbres cote a cote. C'est une photo qui surprend par sa simplicite desarmante, et qui a comme sujet un arbre grand, avec a son cote, un autre arbre, la moitie de la taille de l'arbre grand. Il y a un lien entre les deux arbres, une complicite emouvante, comme si les deux arbres se communiquent en savourants la compagnie de l'autre, sous le guise d'une intuition et langage spirituel. Cette observation parait un passage d'un conte de fee, mais on sait maintenant que les arbres partagent ressources comme de l'eau, carbone, et nutriments, dependants de leurs besoins. Suzanne Simard, une ecologiste forestiere, et ses collegues a l'Universite de la Colombie britannique, ont decouvert un reseau souterrain de connexions de fungi qui connectent les arbres et les plantes d'un ecosysteme. Ce systeme de symbiose etait decouvert par Suzanne Simard quand elle observait des fils blancs et jaunes brillants sur le sol de la foret. Beaucoup de ces fungi etaient mycorrhizien, ce qui veut dire qu'ils ont une relation symbiotique avec une plante hote, dans ce cas, les racines d'arbres. Les arbres grands aident ainsi les arbres jeunes a travers ces reseaux fungiques. Sans cette aide, beaucoup des jeunes plantes ne survivraient pas. Il y des arbres, nommes des arbres " Mother Trees ", qui ont le role de superviser la distribution de ses ressources pour tous les arbres d'une communaute de plantes. Suzanne Simard et ses collegues pensent que ces connexions sont une sorte de communication electrochimique entre les racines des arbres. Cette decouverte aura possiblement des benefices quant au respect pour les forets qui sont deja sous beaucoup de tension, avec le changement du climat, et la pollution et l'empietement de l'habitat. La photo de Djamil Diboune des deux arbres lies par une sorte de connexion profonde, a un impacte emouvant. Ils transfixent malgre l'austerite hivernale de leur apparence. Dans mes livres sur la photographie de Djamil Diboune, " Une Encyclopedie de Beaute " et " Le Secret Heureux d'Ulysse " il y a plusieurs articles sur la complexite cuturelle et biologique des arbres et des fungi, comme le photographe de la nature a plusieurs albums magnifiques dediques aux arbres et fungi de la Kabylie. Cette photo souligne la fascination durable de Djamil Diboune pour les arbres de son pays, pour leur spiritualite, leur importance historique, leur pouvoir spirituelle et leur importance ecologique. C'est une photo sobre, et aussi tres tendre, le grand arbre et le jeune arbre, unis pour la vie. Il y a des destins pires. Un sens de communaute malgre des circonstances difficiles rend tolerable beaucoup de chagrins. C'est un beau enseignement que nous donne cette photo emblematique de l'art souvent discret de Djamil Diboune.
Trudi Ralston
La recherche sur la communication electrochimique des arbres et plantes, courtoisie de Suzanne Simard, www.ecology.com, Oct. 08, 2012 et BBC earth, " Plants talk to each other using an internet of fungus ", par Nic Fleming, 11 November 2014.
Sunday, December 16, 2018
Feu dans le Ciel : La Danse des Nuages Enflammes de Lotfi Bouslah
L'art est une energie vibrante, une passsion partagee, un message nous venant de la profondeur de l'esprit et toutes ses manifestations qui inspirent, encouragent, liberent l'ame et le coeur, et dans le cas de la danse, sont capables de liberer aussi le corps. L'art, comme l'amour, est une chanson de liberte, comme le vol des oiseaux.
Aujourd'hui le photographe de la nature Lotfi Bouslah de Lolo Pics a partage une telle chanson de liberte, avec une photo superbe d'un ciel bleu fonce ou dansent deux esprits libres comme deux danseurs de feu avec les montagnes noires leur stage theatrale dramatique tout le long de l'horizon du jour qui s'acheve. Dominants comme deux sculptures modernes enormes, les nuages dans cette photo prennent la forme d'un danseur masculin muscle, les bras en l'air, les jambes sautant haut dans un geste de precision et seduction, et son partenaire, faite de l'imagination de ces nuages fantastiques, une danseuse envoutante, agenouillee brevement dans un geste d'appreciation et esperance envers le beau danceur. Les cheveux longs de la danseuse flottent avec l'energie des bonds de son partenaire, dans cette rencontre intense et intime qu'a dessine le ciel bleu cobalt nocturne pour ce poeme visuel magnifique. Aux pieds du danseur la lumiere est doree, comme le reflet de l'energie de ses mouvements, et la danseuse est entouree de nuages rouges, qui enveloppent ses jambes comme la robe d'une danseuse de flamenco. C'est une scene d'une beaute et passion transcendentale et sensuelle tout en un. Le danseur me rappelle une photo magnifique d'un saut du danseur russe Sergei Polunin, ne en 1989 a Kherson, en Ukraine, et un danseur de renommee mondiale. La danseuse dans les nuages me rappelle une peinture de Andrew Atroshenko, ne en 1965, a Pokrovsk, Russie, sa peinture d'une danseuse de flamenco, avec les bras hauts, et la robe rouge enveloppee autour de ses jambes energiques comme une flamme grande. Les couleurs dorees des danseurs de nuages dans la photo de Lotfi Bouslah me rappellent aussi une piece d'art du sculpteur Francois Raoul Larche ( 1860 - 1912 ), avec sa lampe en bronze dore, style Art Nouveau de la danseuse americaine Loie Fuller ( 1862 - 1928 ) enveloppee dans l'energie passionnee de ses mouvements. Loie Fuller etait consideree revolutionnaire quant a sa technique et sa connaissance de l'eclairage technique pour le theatre, et sa "Danse Serpentine ", ou elle combinait des costumes de soie et des lumieres innovatives pour accentuer le mouvement de ses costumes ondulants. Elle etait un symbole important du mouvement de l'Art Nouveau et une danseuse et choreographe celebree a Paris pendant sa carriere illustre. La photo des nuages de Lotfi Bouslah me rappellent les videos de cette danseuse avec leurs mouvements energiques de la part de Loie Fuller, qui etaient accentues par les couleurs vibrantes et illuminees de ses costumes innovants, ou la danseuse et le costume etaient en flux et harmonie synchronisee.
C'est beau quand l'art d'un artiste nous donne des surprises, comme cette photo qui est un clin d'oeil astucieux a l'art avant - gardiste de la part du photographe de la nature de Lolo Pics.
Trudi Ralston
La recherche sur le danseur russe Sergei Polunin, le peintre russe Andrew Atroshenko, le sculpteur francais Francois Raoul Larche et la danseuse americaine Loie Fuller, courtoisie de Wikipedia.
Aujourd'hui le photographe de la nature Lotfi Bouslah de Lolo Pics a partage une telle chanson de liberte, avec une photo superbe d'un ciel bleu fonce ou dansent deux esprits libres comme deux danseurs de feu avec les montagnes noires leur stage theatrale dramatique tout le long de l'horizon du jour qui s'acheve. Dominants comme deux sculptures modernes enormes, les nuages dans cette photo prennent la forme d'un danseur masculin muscle, les bras en l'air, les jambes sautant haut dans un geste de precision et seduction, et son partenaire, faite de l'imagination de ces nuages fantastiques, une danseuse envoutante, agenouillee brevement dans un geste d'appreciation et esperance envers le beau danceur. Les cheveux longs de la danseuse flottent avec l'energie des bonds de son partenaire, dans cette rencontre intense et intime qu'a dessine le ciel bleu cobalt nocturne pour ce poeme visuel magnifique. Aux pieds du danseur la lumiere est doree, comme le reflet de l'energie de ses mouvements, et la danseuse est entouree de nuages rouges, qui enveloppent ses jambes comme la robe d'une danseuse de flamenco. C'est une scene d'une beaute et passion transcendentale et sensuelle tout en un. Le danseur me rappelle une photo magnifique d'un saut du danseur russe Sergei Polunin, ne en 1989 a Kherson, en Ukraine, et un danseur de renommee mondiale. La danseuse dans les nuages me rappelle une peinture de Andrew Atroshenko, ne en 1965, a Pokrovsk, Russie, sa peinture d'une danseuse de flamenco, avec les bras hauts, et la robe rouge enveloppee autour de ses jambes energiques comme une flamme grande. Les couleurs dorees des danseurs de nuages dans la photo de Lotfi Bouslah me rappellent aussi une piece d'art du sculpteur Francois Raoul Larche ( 1860 - 1912 ), avec sa lampe en bronze dore, style Art Nouveau de la danseuse americaine Loie Fuller ( 1862 - 1928 ) enveloppee dans l'energie passionnee de ses mouvements. Loie Fuller etait consideree revolutionnaire quant a sa technique et sa connaissance de l'eclairage technique pour le theatre, et sa "Danse Serpentine ", ou elle combinait des costumes de soie et des lumieres innovatives pour accentuer le mouvement de ses costumes ondulants. Elle etait un symbole important du mouvement de l'Art Nouveau et une danseuse et choreographe celebree a Paris pendant sa carriere illustre. La photo des nuages de Lotfi Bouslah me rappellent les videos de cette danseuse avec leurs mouvements energiques de la part de Loie Fuller, qui etaient accentues par les couleurs vibrantes et illuminees de ses costumes innovants, ou la danseuse et le costume etaient en flux et harmonie synchronisee.
C'est beau quand l'art d'un artiste nous donne des surprises, comme cette photo qui est un clin d'oeil astucieux a l'art avant - gardiste de la part du photographe de la nature de Lolo Pics.
Trudi Ralston
La recherche sur le danseur russe Sergei Polunin, le peintre russe Andrew Atroshenko, le sculpteur francais Francois Raoul Larche et la danseuse americaine Loie Fuller, courtoisie de Wikipedia.
Sous les Auspices Imperiaux : Le Cedre Vigoureux de Lotfi Bouslah
Le Parc National de Djurdjura en Kabylie est renomme d'avoir les montagnes les plus spectaculaires en Algerie, et est considere un tresor de valeur nationale et internationale quant a la flore et faune qu'on y trouve. Je n'ai aucun doute quant a la veracite de cette observation. Je pense aux photos sublimes qu'a partagees le photographe de la nature Lotfi Bouslah de Lolo Pics du Djurdjura, comme ses photos prises sur les hauteurs de Azru n' Thor, et l'article que j'ai dedique a sa photo d'un lever de soleil inoubliable, " Au Seuil de la Porte du Temps : Le Soleil Cryptanalyste de Lotfi Bouslah " du 28 octobre 2018.
Le 13 decembre le photographe de la nature a partage une photo qui est frappante pour sa composition dans un ciel azur vibrant d'un Cedrus atlantica, le cedre de l'Atlas, une espece de cedre qui est originaire des montagnes de l'Atlas du Maroc et de l'Algerie, un arbre ancien qui a une histoire d'importance culturelle qui remonte des milliers et des milliers d'annees. Cedrus est un arbre qui est originaire des Himalayas et de la region de la Mediterranee. Le cedre est un arbre a feuilles persistantes, qui appartient a la famille des sapins, et le mot cedre est parfois utilise pour decrire plus de 30 especes de plantes qui appartiennent a 3 familles differentes : Pinaceae, avec entre 220 et 250 especes; Cupressaceae, avec entre 130 - 140 especes, et Meliaceae, avec a peu pres 600 especes. Le cedre est un arbre qui prospere sur des altitudes elevees, de 1500 - 3200 metres dans les regions ouestes des Himalayas, et a des hauteurs de 2000 metres dans la region de la Mediterranee, et les arbres sont d'une hauteur de entre 30 et 40 metres, parfois meme 70 metres, et ont les branches epaisses avec une ecorce fissuree.
Les cedres symbolisent la force, et sont consideres des arbres sacres depuis l'Antiquite. On utilisait leur bois comme des portes pour les temples, et pour les feus de ceremonies de purification. On les croyait etre des residences pour les dieux, et des portails pour des royaumes plus eleves. Les cedres les plus anciens se trouvent au Liban, ou il existe jusqu'a aujourd'hui la Foret des Cedres de Dieu, les derniers cedres restants des forests abondants qui pendant l'Antiquite etaient utilises par les pheniciens, les egyptiens, les israelites, les babyloniens, les perses, les romains et les turcs, pour leurs chantiers navales, et l'Empire Ottomane utilisait le bois des cedres dans la construction ferroviaire. Depuis 1998, ces forets sont un site classe au patrimoine mondial de l'UNESCO. Le cedre est le symbole du drapeau libanes, et la foret de ces cedres anciens classes de la foret des Cedres de Dieu se trouvent sur les versants de la montagne Makmel, qui dominent la vallee de Kadisha, ou ces cedres anciens se trouvent a une altitude de plus de 2100 metres. Quatre de ces cedres ont atteint une hauteur de 35 metres, et leur troncs ont une epaisseur de entre 12 et 14 metres.
La photo de Lotfi Bouslah du 13 decembre montre un cedre, Cedrus atlantica, que le photographe de la nature introduit avec un titre tres a propos : " L'arbre qui resiste aux conditions de la Nature. " C'est une photo sublime d'un cedre de l'Atlas perche sur les hauteurs de Azru 'n Thor, au parc national de Djurdjura, Tizi - Ouzou, avec le tronc fonce tordu, un contraste merveilleux avec sa couronne epaisse et verte eparse et asymmetrique, sous un ciel azur intense. Au pied du cedre, il ya des roches pales, blanchis par le soleil et le temps, qui ont une couleur presque pale verte, et autour du cedre, enroulee presque comme un petit dragon qui parait proteger l'arbre ancien il y a une branche morte, et au cote droit, en bas, une jeune branche verte, qui parait avoir l'apparence d'un parasol, qui abrite le petit dragon de l'intensite du soleil et sa lumiere presque aveuglante. C'est en fait vraiment " L'arbre qui resiste aux conditions de la nature. " Avec le changement climatique, les forets de ces cedres precieux souffrent avec le manque d'eau, cause par des periodes de secheresses intenses et prolongees. Le cedre vigoureux dans la photo de Lotfi Bouslah a une elegance austere, qui exude une joie de vivre soi - disant, qui celebre le bleu du ciel et qui tolere la chaleur et l'incertitude du futur, etant un descendant fier et resistant d'un passe ancien qui remonte au temps des pharaohs et les gloires de l'ancienne Babylonie et la Perse antique. C'est une photo plein d'optimisme, et pleine de beaute, avec le ciel azur comme fait de soie pour la parure ceremoniale d'un empereur ancien, et le cedre elegant et fier parait une belle couture de satin, et le petit dragon et la branche - parasol comme un dessin fait avec une aiguille de fil de soie argentee, comme le dessin de roches eux aussi ajoutant une touche imperiale au tableau. On peut s'imaginer la chaleur, le silence, et on apprecie aussi la determination du cedre, accroche avec une tenacite obstinee au sol rocheux, a l'espoir de l'herbe verte parseme le long des roches. La photo de Lofti Bouslah est une inspiration, une piece artistique parfaite dans tous les sens du mot.
Trudi Ralston
La recherche sur l'histoire ancienne du cedre, et specifiquement du Cedrus atlantica, courtoisie de Wikipedia.
Le 13 decembre le photographe de la nature a partage une photo qui est frappante pour sa composition dans un ciel azur vibrant d'un Cedrus atlantica, le cedre de l'Atlas, une espece de cedre qui est originaire des montagnes de l'Atlas du Maroc et de l'Algerie, un arbre ancien qui a une histoire d'importance culturelle qui remonte des milliers et des milliers d'annees. Cedrus est un arbre qui est originaire des Himalayas et de la region de la Mediterranee. Le cedre est un arbre a feuilles persistantes, qui appartient a la famille des sapins, et le mot cedre est parfois utilise pour decrire plus de 30 especes de plantes qui appartiennent a 3 familles differentes : Pinaceae, avec entre 220 et 250 especes; Cupressaceae, avec entre 130 - 140 especes, et Meliaceae, avec a peu pres 600 especes. Le cedre est un arbre qui prospere sur des altitudes elevees, de 1500 - 3200 metres dans les regions ouestes des Himalayas, et a des hauteurs de 2000 metres dans la region de la Mediterranee, et les arbres sont d'une hauteur de entre 30 et 40 metres, parfois meme 70 metres, et ont les branches epaisses avec une ecorce fissuree.
Les cedres symbolisent la force, et sont consideres des arbres sacres depuis l'Antiquite. On utilisait leur bois comme des portes pour les temples, et pour les feus de ceremonies de purification. On les croyait etre des residences pour les dieux, et des portails pour des royaumes plus eleves. Les cedres les plus anciens se trouvent au Liban, ou il existe jusqu'a aujourd'hui la Foret des Cedres de Dieu, les derniers cedres restants des forests abondants qui pendant l'Antiquite etaient utilises par les pheniciens, les egyptiens, les israelites, les babyloniens, les perses, les romains et les turcs, pour leurs chantiers navales, et l'Empire Ottomane utilisait le bois des cedres dans la construction ferroviaire. Depuis 1998, ces forets sont un site classe au patrimoine mondial de l'UNESCO. Le cedre est le symbole du drapeau libanes, et la foret de ces cedres anciens classes de la foret des Cedres de Dieu se trouvent sur les versants de la montagne Makmel, qui dominent la vallee de Kadisha, ou ces cedres anciens se trouvent a une altitude de plus de 2100 metres. Quatre de ces cedres ont atteint une hauteur de 35 metres, et leur troncs ont une epaisseur de entre 12 et 14 metres.
La photo de Lotfi Bouslah du 13 decembre montre un cedre, Cedrus atlantica, que le photographe de la nature introduit avec un titre tres a propos : " L'arbre qui resiste aux conditions de la Nature. " C'est une photo sublime d'un cedre de l'Atlas perche sur les hauteurs de Azru 'n Thor, au parc national de Djurdjura, Tizi - Ouzou, avec le tronc fonce tordu, un contraste merveilleux avec sa couronne epaisse et verte eparse et asymmetrique, sous un ciel azur intense. Au pied du cedre, il ya des roches pales, blanchis par le soleil et le temps, qui ont une couleur presque pale verte, et autour du cedre, enroulee presque comme un petit dragon qui parait proteger l'arbre ancien il y a une branche morte, et au cote droit, en bas, une jeune branche verte, qui parait avoir l'apparence d'un parasol, qui abrite le petit dragon de l'intensite du soleil et sa lumiere presque aveuglante. C'est en fait vraiment " L'arbre qui resiste aux conditions de la nature. " Avec le changement climatique, les forets de ces cedres precieux souffrent avec le manque d'eau, cause par des periodes de secheresses intenses et prolongees. Le cedre vigoureux dans la photo de Lotfi Bouslah a une elegance austere, qui exude une joie de vivre soi - disant, qui celebre le bleu du ciel et qui tolere la chaleur et l'incertitude du futur, etant un descendant fier et resistant d'un passe ancien qui remonte au temps des pharaohs et les gloires de l'ancienne Babylonie et la Perse antique. C'est une photo plein d'optimisme, et pleine de beaute, avec le ciel azur comme fait de soie pour la parure ceremoniale d'un empereur ancien, et le cedre elegant et fier parait une belle couture de satin, et le petit dragon et la branche - parasol comme un dessin fait avec une aiguille de fil de soie argentee, comme le dessin de roches eux aussi ajoutant une touche imperiale au tableau. On peut s'imaginer la chaleur, le silence, et on apprecie aussi la determination du cedre, accroche avec une tenacite obstinee au sol rocheux, a l'espoir de l'herbe verte parseme le long des roches. La photo de Lofti Bouslah est une inspiration, une piece artistique parfaite dans tous les sens du mot.
Trudi Ralston
La recherche sur l'histoire ancienne du cedre, et specifiquement du Cedrus atlantica, courtoisie de Wikipedia.
Friday, December 14, 2018
Le Theatre de la Vie : La Sagesse Perspicace de Fodil Bousba
Pendant mes premieres annees de vivre ici a Olympia, a Washington State, j'ai fait la connaissance d'une voisine qui avait une grande famille et un coeur aussi grand. Elle etait toujours gentille, envers tout le monde, meme les personnes qui la traitaient avec mepris parcequ'elle vivait dans des circonstances bien humildes et stressantes avec son mari et leurs neuf enfants. Sa maison etait la maison preferee de tous les enfants du voisinage, et mon fils y a passe beaucoup de moments heureux quand il etait enfant. Ma voisine m'impressionnait toujours pour la facon qu'elle pardonnait toute injustice envers elle, et c'etait vraiement frustrant, beaucoup de personnes savaient qu'elle avait le coeur grand et tolerant, et profitaient d'elle. C'est une femme intelligente, et elle auarait pu se defendre a chaque fois, mais, tout le contraire, elle etait encore plus gentille envers les personnes qui abusaient de sa charite. Cela m'a toujours fascinee, ayant un peu le coeur volcan moi - meme, mais je fais un effort depuis de me rappeller la sagesse de ma voisine et amie Diane, qui a toujours les yeux heureux et un sourire sincer quand on lui rencontre. Le poete et ecrivain libanes - americain Kahlil Gibran aurait apprecie l'attitude si tolerante de mon amie : " Il y a ceux qui donnent et ne souffrent pas avec l'effort de leur generosite, et non plus ils cherchent la joie avec leurs gestes de compassion, et ne pensent pas a la vertu de leurs actions; ils donnent comme le font les branches de myrtille dans la vallee donnent leur parfum tout autour. A travers de telles mains genereux Dieu parle, et a travers leurs yeux Il sourit sur la terre. " Dans des moments frustrants ou difficiles, je me rappelle mon amie, qui je vois rarement ces jours, comme elle est tres occupee avec tous ses petits enfants. Quand j'ai lu le message partage il y a quelques jours, par Fodil Bousba, qui est un des membres distingues du groupe " Association de Wilaya Tourisme et Culture " Les Randonneurs des Babors ", c'etait a un moment difficile et ses mots etaient tres opportuns :
" La vie est une piece theatrale ou chacun doit jouer son role. Les bons, les mauvais, les braves, les laches,... doivent tous exister." C'etait si bon de lire ses mots de patience, de tolerance, de sagesse. Cela m'a rappelle l'importance de voir le monde et les gens avec une perspective de largesse, de tolerance pour le fait que la vie est un mystere profond, et que le bien et le mal sont eux aussi tous les deux des personnages dans cette piece theatrale comme le decrit si bien Fodil Bousba. L'univers recoit son equilibre malgre notre incomprehension de ses raisons, ce n'est pas a nous de juger, c'est a nous de faire de notre mieux. Kahlil Gibran le define bien : " Faites surs que vous etes dignes de donner, et d'etre un instrument de charite. La verite est que c'est la vie qui donne, pendant que vous, qui vous considerez genereux, n'etes que des temoins. " C'est quand on se prend trop au serieux qu'on perd cette perspective humilde, qu'on se fache, qu'on perd la capacite d'aimer meme ceux qui ne sont pas aimables, et qu'on risque de poisonner le coeur avec l'amertume et le mepris.
Je remercie mon ami Fodil Bousba pour me rappeller cette verite tres importante, sur laquelle j'avais vraiment besoin de mediter un bon, long moment.
Trudi Ralston
L'edition de mon livre de Kahlil Gibran " Le Prophete ", de 1923, avec le passages partages pour cet article, est de William Heinemann Ltd, 1975, et la traduction en francais des passages de l'anglais est la mienne.
" La vie est une piece theatrale ou chacun doit jouer son role. Les bons, les mauvais, les braves, les laches,... doivent tous exister." C'etait si bon de lire ses mots de patience, de tolerance, de sagesse. Cela m'a rappelle l'importance de voir le monde et les gens avec une perspective de largesse, de tolerance pour le fait que la vie est un mystere profond, et que le bien et le mal sont eux aussi tous les deux des personnages dans cette piece theatrale comme le decrit si bien Fodil Bousba. L'univers recoit son equilibre malgre notre incomprehension de ses raisons, ce n'est pas a nous de juger, c'est a nous de faire de notre mieux. Kahlil Gibran le define bien : " Faites surs que vous etes dignes de donner, et d'etre un instrument de charite. La verite est que c'est la vie qui donne, pendant que vous, qui vous considerez genereux, n'etes que des temoins. " C'est quand on se prend trop au serieux qu'on perd cette perspective humilde, qu'on se fache, qu'on perd la capacite d'aimer meme ceux qui ne sont pas aimables, et qu'on risque de poisonner le coeur avec l'amertume et le mepris.
Je remercie mon ami Fodil Bousba pour me rappeller cette verite tres importante, sur laquelle j'avais vraiment besoin de mediter un bon, long moment.
Trudi Ralston
L'edition de mon livre de Kahlil Gibran " Le Prophete ", de 1923, avec le passages partages pour cet article, est de William Heinemann Ltd, 1975, et la traduction en francais des passages de l'anglais est la mienne.
Thursday, December 13, 2018
Le Sentiment de Solidarite au Monde des Oiseaux : Le Bulbul des Jardins de Lotfi Bouslah
Cette semaine, le 12 decembre, le photographe de la nature Lotfi Bouslah de Lolo Pics a partage une photo charmante d'un couple d'oiseaux connus sous le nom populaire de Bulbul des jardins, et au nom scientifique de Pycnonotus barbatus. Le Bulbul des jardins est un oiseau passerine de l'ordre des Passeriformes, qui comprennent plus de la moitie des especes d'oiseaux, et de qui l'ordre de passerine se refere au fait que ces oiseaux ont les orteils qui facilitent la perche. Pycnonotus barbatus est dans la famille Pycnonotidae et se trouvent dans le nord, l'est, l'ouest de l'Afrique et l'Afrique centrale. Le Bulbul des jardins est considere une subespece ensemble avec le Bulbul de l'Himalaya, le bulbul a oreilles blanches, et Pycnonotus xanthopygos, le Bulbul a lunettes blanc, le Bulbul aux yeux rouges, et le Bulbul du Cap. Le Bulbul des jardins a 5 subespeces reconnues : Pycnonotus barbatus barbatus, qui se trouve du Maroc a la Tunisie; Pycnonotus barbatus inornatus, le Bulbul de haute Guinee, qui se trouve dans le sud de la Mauritanie, le Senegal jusqu'a l'ouest de Chad et le nord de Cameroun; Pycnonotus gabonensis, le Bulbul du Gabon, qui se trouve du Nigeria central et le Cameroun central jusqu'au Gabon et le sud du Congo; le Bulbul egyptien, Pycnonotus barbatus arsinoe, aussi nomme le Bulbul des jardins du Sahel, qui se trouve dans l'est de Chad, le nord de Chad et le Chad central, et l'est de l'Egypte; et le Bulbul abyssin, Pycnonotus barbatus schoanus, trouve dans le sud- est du Sudan, l'ouest et l'est de l'Ethiopie et l'Ethiopie centrale, ainsi que l'Erythree.
Le bec de Bulbus des jardins est assez court, et fin, avec une mandibule superieure descendante. Le bec, les pattes et les pieds sont noirs et l'oeil est marron avec un anneau oculaire qui n'est pas immediatement visible. L'oiseau est de 18cm, avec une queue longue, la tete est marron, ainsi que les parties superieures. Le plumage est semblable dans les deux sexes. Le Bulbul des jardins est un oiseau resident dans une grande partie de l'Afrique, et est trouve dans des zones boisees, du buisson cotier, les lisieres de foret, des buissons riverains, des arbustes de montagne, des fourres exotiques, et des habitats d'agriculture mixte. C'est un oiseau qu'on voit souvent en couple, et c'est un oiseau qui attire l'attention, qui se trouve souvent au sommet d'un buisson. Le Bulbul des jardins est actif et bruyant. C'est un oiseau rebondissant, comme le pivert, qui niche toute l'annee dans les tropiques humides. Dans d'autres regions, l'oiseau a sa saison d'amour qui coincide avec le commencement de la saison des pluies. Cet espece se nourrit de fruits, de nectar, de semilles et d'insectes.
La photo de 12 decembre de Lotfi Bouslah montre un moment charmant d'un couple de Bulbul des jardins, assis cote a cote, bien a l'aise sur une branche d'un coin protege et vert ensoleille d'un buisson cotier, observant le monde autour avec un oeil critique et alerte, comme s'ils se sentaient bien contents d'appartenir au monde des animaux, et avaient leur doute sur l'espece humaine, et la curiosite envers eux de la part du photographe de la nature, et son interet pour leur presence. Ce portrait nostalgique de ces oiseaux amoureux m'a fait rechercher la realite concrete quant a la monogamie dans le monde des oiseaux. La recherche a prouve bien interessante, car il y a apparemment deux aspects quant a la monogamie dans leur monde : il y a la monogamie sociale et la monogamie sexuelle : 90% des oiseaux participent a la monogamie sociale, ce qui veut dire que les couples restent ensembles et fidels pendant la saison des amours et le soin de leur progeniture, une fois cette responsabilite accomplie, le couple se separe et poursuivent d'autres partenaires pour la saison d'amours suivante. La monogamie sexuelle est beaucoup plus rare, a pres de 10 %, et se trouve parmi la plupart des especes des oies, les cygnes et les aigles, qui restent un couple socialement et sexuellement pour la vie. Ceci dit, les oiseaux montrent une loyaute et solidarite envers leurs bebes qui dans le monde moderne devient assez rare entre les parents humains.
Les males de Bulbus des jardins sont tres gallant pendant la saison des amours, et apportent de la nourriture a la femelle quand elle ne peut plus quitter le nid et les oeufs, et apres, les oiseaux bebes, pour se nourrire elle meme, et les males aident aussi avec la nourriture pour les bebes, et avec la protection du nid de predateurs.
Il parait que le monde des oiseaux est plus moderne que l'on avait pense avant, mais dans leur attitudes modernes, il n'evadent pas la responsabilite comme parents, ce qui est bien admirable, vu que pas mal d'etres humains modernes egalent la modernite avec l'irresponsabilite quant a leurs enfants.
Trudi Ralston
La recherche sur le monde de l'oiseau passerine Bulbus des jardins, Pycnonotus barbatus, et la monogamie dans les monde des oiseaux, courtoisie de Wikipedia.
Je suis reconnaissante au photographe de la nature Lotfi Bouslah pour l'identification de Bulbus des jardins dans sa photo, comme c'etait une identification bien insaisissable. Son aide astucieux m'a sauve des heures de recherche frustrante.
Le bec de Bulbus des jardins est assez court, et fin, avec une mandibule superieure descendante. Le bec, les pattes et les pieds sont noirs et l'oeil est marron avec un anneau oculaire qui n'est pas immediatement visible. L'oiseau est de 18cm, avec une queue longue, la tete est marron, ainsi que les parties superieures. Le plumage est semblable dans les deux sexes. Le Bulbul des jardins est un oiseau resident dans une grande partie de l'Afrique, et est trouve dans des zones boisees, du buisson cotier, les lisieres de foret, des buissons riverains, des arbustes de montagne, des fourres exotiques, et des habitats d'agriculture mixte. C'est un oiseau qu'on voit souvent en couple, et c'est un oiseau qui attire l'attention, qui se trouve souvent au sommet d'un buisson. Le Bulbul des jardins est actif et bruyant. C'est un oiseau rebondissant, comme le pivert, qui niche toute l'annee dans les tropiques humides. Dans d'autres regions, l'oiseau a sa saison d'amour qui coincide avec le commencement de la saison des pluies. Cet espece se nourrit de fruits, de nectar, de semilles et d'insectes.
La photo de 12 decembre de Lotfi Bouslah montre un moment charmant d'un couple de Bulbul des jardins, assis cote a cote, bien a l'aise sur une branche d'un coin protege et vert ensoleille d'un buisson cotier, observant le monde autour avec un oeil critique et alerte, comme s'ils se sentaient bien contents d'appartenir au monde des animaux, et avaient leur doute sur l'espece humaine, et la curiosite envers eux de la part du photographe de la nature, et son interet pour leur presence. Ce portrait nostalgique de ces oiseaux amoureux m'a fait rechercher la realite concrete quant a la monogamie dans le monde des oiseaux. La recherche a prouve bien interessante, car il y a apparemment deux aspects quant a la monogamie dans leur monde : il y a la monogamie sociale et la monogamie sexuelle : 90% des oiseaux participent a la monogamie sociale, ce qui veut dire que les couples restent ensembles et fidels pendant la saison des amours et le soin de leur progeniture, une fois cette responsabilite accomplie, le couple se separe et poursuivent d'autres partenaires pour la saison d'amours suivante. La monogamie sexuelle est beaucoup plus rare, a pres de 10 %, et se trouve parmi la plupart des especes des oies, les cygnes et les aigles, qui restent un couple socialement et sexuellement pour la vie. Ceci dit, les oiseaux montrent une loyaute et solidarite envers leurs bebes qui dans le monde moderne devient assez rare entre les parents humains.
Les males de Bulbus des jardins sont tres gallant pendant la saison des amours, et apportent de la nourriture a la femelle quand elle ne peut plus quitter le nid et les oeufs, et apres, les oiseaux bebes, pour se nourrire elle meme, et les males aident aussi avec la nourriture pour les bebes, et avec la protection du nid de predateurs.
Il parait que le monde des oiseaux est plus moderne que l'on avait pense avant, mais dans leur attitudes modernes, il n'evadent pas la responsabilite comme parents, ce qui est bien admirable, vu que pas mal d'etres humains modernes egalent la modernite avec l'irresponsabilite quant a leurs enfants.
Trudi Ralston
La recherche sur le monde de l'oiseau passerine Bulbus des jardins, Pycnonotus barbatus, et la monogamie dans les monde des oiseaux, courtoisie de Wikipedia.
Je suis reconnaissante au photographe de la nature Lotfi Bouslah pour l'identification de Bulbus des jardins dans sa photo, comme c'etait une identification bien insaisissable. Son aide astucieux m'a sauve des heures de recherche frustrante.
Le Conseil : L'Assemblee Mystique au Lac Akkar de Lotfi Bouslah
C'est toujours interessant de voir un beau tableau, que ce soit une peinture, ou une photo, qui nous prend de suprise. Devant la photo " L' effet miroir " d'aujourd'hui de Lotfi Bouslah de Lolo Pics qui est un tableau en couleurs vibrantes vertes et bleues du Lac Akkar a Aokas, Bejaia, je m'imaginais dans une gallerie, reculant devant cette scene aquatique intrigante. La photo est une scene tranquille qui se concentre sur le reflet que fait l'eau au premier plan, des plantes aquatiques et des arbres de l'autre rive. Le reflet invite la meditation, la pause, et cette photo attire notre atention pour la ligne mystique des plantes, des arbres. On est face a un conseil des esprits de ces plantes et arbres, qui ont au centre de cette ligne un arbre plus haut, le sage du groupe. Cette sensation est amplifiee par la presence de la plante Cyperus, de la famille Cyperaceae, dont il existent environ 700 especes mondialement. Leur taille varie beaucoup, avec les plus petites especes ayant une hauteur de 5cm, et les especes les plus grandes ayant une hauteur de 5 metres. Le nom populaire de cette plante est papyrus, avec l'espece fameuse ancienne Cyperus papyrus subespece hadidii d'une signification historique cruciale, comme c'est de cette plante que faisaient les anciens egyptiens leur fameux papier epais, le papyrus. Cette invention de la part de l'Egypte ancien remonte 4000 annees avant B.C. Cette plante ancienne survit jusqu'aujourd'hui, mais est en danger d'extinction, pour la destruction de son habitat de zones humides. Comme j'ai grandi en Belgique et je vis a Washington State, cette photo avec cette espece grande de Cyperus, ce cousin de la famille fameuse du papyrus, est bien exotique. Six mil ans cette plante et son ancetre fameux ont su survivre, et l'homme moderne risque de la faire disparaitre de notre planete. La ligne d'arbres derriere la queue que font les plantes de Cyperus parait presque immobile, pas juste physiquement, mais spirituellement, comme si le conseil des arbres a des doutes graves quant a la survivabilite de leur espece, et de la terre. La photo a une qualite intemporelle, une dignite calme malgre la presence d'une nuance d'inquietude. Dans ce sens le reflet miroir obtient une qualite de profonde contemplation, presque comme si l'eau devient le referentiel de la memoire des arbres et des plantes aquatiques. Cette photo de Lotfi Bouslah souligne la capacite merveilleuse que possede le photographe de la nature de trouver un equilibre sublime entre un recit intime et un recit universel, une qualite de son art que j'admire beaucoup.
L'autre jour, une personne pas necessairement bien intentionnee, m'a demande pourquoi je dedique des articles a l'etude de photos specifiques. Je leur ai dit sans aucune hesitation ou ressentiment que je faisais ainsi parceque c'etait tres necessaire dans un monde qui a beaucoup de problemes avec la comprehension de la tradition et de la culture comme manifestations de l'esprit. Tout reste a la surface. Il est grand temps de reculer et de communiquer a nouveau d'ame a ame. Mes articles sur la photographie de Djamil Diboune, dont existent 370 pages en ce moment en plusieurs livres, et sur la photographie de Chamy Tout Court et Katia Djabri, et sur les efforts culturels et sportifs des groupes des randonneurs " Les Marcheurs " et des randonneurs de " L'Association de Wilaya Tourisme et Culture " Les Randonneurs des Babors ", et sur la photographie de la part de Lotfi Bouslah de Lolo Pics, sont un effort passionne et conscient de ma part de reveiller le monde sur l'importance de sentir la beaute, la nature, la culture jusqu'au plus profond de notre ame et de notre capacite pour le respect et la camaraderie envers nos semblables sur cette terre. Cette conversation pour moi a commence dans le nord de l'Algerie avec mes ami(e)s berberes, ou j'ai decouvert un tresor d'amitie, de beaute de la nature, de generosite, de poesie et un sens profond de communaute, d'espoir et de determination et courage. Chaque article est aussi part d'un memoire en honneur de l'Algerie, de son histoire, de sa culture, et du memoire aussi de ma vie et ses perspectives enrichies par les perpsectives que l'art photographique de mes ami(e)s me permet d'apprecier et de partager. Mes articles sont le temoignage de mon esprit flamand - francais- americain et son odyssee de decouverte de la nature en Algerie a travers la perspective et l'ame et le coeur de ses photographes benis avec des sensibilites et intuitions merveilleuses. Mes articles et livres et collections de poemes sur les photographes berberes qui m'ont touche l'ame et qui inspirent mon energie et mon coeur, sont une facon d'unir le monde, pour entamer un dialogue, l'interet, sur tout ce qui nous fait comprendre qu'on est tous des membres de la meme famille et que la seule facon de comprendre cette verite est de raconter l'histoire de chaque belle personne qu'on rencontre. Dans mon cas, j'ai eu la bonne chance de pouvoir raconter les belles histoires de ces belles personnes a travers la nature et les amities uniques que le destin m'a permis de decouvrir en Algerie. Il etait une fois une flamande qui avait quitte son pays, avait vecu au Texas dix ans, qui avait cherche son chemin a Washington State, a Olympia, et qui a trouve dans la nature et les artistes photographes en Algerie la melodie et les mots importants pour un message tres opportun pour le monde qui risque de perdre son ame et son coeur a l'indifference et l'hostilite, l'ignorance et la cruaute. La photo du Lac Akkar a Aokas, Bejaia, avec son titre bien pertinent pour ce conseil d'arbres entoures de plantes de Cyperus, ces gardiens solennels anciens, est une belle introduction pour une conversation attendue depuis longtemps sur l'importance essentielle et urgente de nous rappeller les vraies valeurs dans la vie : notre humanite, qui ne peut pas survivre si on ne comprend pas qu'il n'y pas de " toi " ni " moi ", ni "eux ", il y a seulement "nous ".
Trudi Ralston
La recherche sur le symbolisme des arbres, sur l'espece de plantes aquatiques Cyperus, et sur Cyperus papyrus subespece. hadidii, courtoisie de Wikipedia.
L'autre jour, une personne pas necessairement bien intentionnee, m'a demande pourquoi je dedique des articles a l'etude de photos specifiques. Je leur ai dit sans aucune hesitation ou ressentiment que je faisais ainsi parceque c'etait tres necessaire dans un monde qui a beaucoup de problemes avec la comprehension de la tradition et de la culture comme manifestations de l'esprit. Tout reste a la surface. Il est grand temps de reculer et de communiquer a nouveau d'ame a ame. Mes articles sur la photographie de Djamil Diboune, dont existent 370 pages en ce moment en plusieurs livres, et sur la photographie de Chamy Tout Court et Katia Djabri, et sur les efforts culturels et sportifs des groupes des randonneurs " Les Marcheurs " et des randonneurs de " L'Association de Wilaya Tourisme et Culture " Les Randonneurs des Babors ", et sur la photographie de la part de Lotfi Bouslah de Lolo Pics, sont un effort passionne et conscient de ma part de reveiller le monde sur l'importance de sentir la beaute, la nature, la culture jusqu'au plus profond de notre ame et de notre capacite pour le respect et la camaraderie envers nos semblables sur cette terre. Cette conversation pour moi a commence dans le nord de l'Algerie avec mes ami(e)s berberes, ou j'ai decouvert un tresor d'amitie, de beaute de la nature, de generosite, de poesie et un sens profond de communaute, d'espoir et de determination et courage. Chaque article est aussi part d'un memoire en honneur de l'Algerie, de son histoire, de sa culture, et du memoire aussi de ma vie et ses perspectives enrichies par les perpsectives que l'art photographique de mes ami(e)s me permet d'apprecier et de partager. Mes articles sont le temoignage de mon esprit flamand - francais- americain et son odyssee de decouverte de la nature en Algerie a travers la perspective et l'ame et le coeur de ses photographes benis avec des sensibilites et intuitions merveilleuses. Mes articles et livres et collections de poemes sur les photographes berberes qui m'ont touche l'ame et qui inspirent mon energie et mon coeur, sont une facon d'unir le monde, pour entamer un dialogue, l'interet, sur tout ce qui nous fait comprendre qu'on est tous des membres de la meme famille et que la seule facon de comprendre cette verite est de raconter l'histoire de chaque belle personne qu'on rencontre. Dans mon cas, j'ai eu la bonne chance de pouvoir raconter les belles histoires de ces belles personnes a travers la nature et les amities uniques que le destin m'a permis de decouvrir en Algerie. Il etait une fois une flamande qui avait quitte son pays, avait vecu au Texas dix ans, qui avait cherche son chemin a Washington State, a Olympia, et qui a trouve dans la nature et les artistes photographes en Algerie la melodie et les mots importants pour un message tres opportun pour le monde qui risque de perdre son ame et son coeur a l'indifference et l'hostilite, l'ignorance et la cruaute. La photo du Lac Akkar a Aokas, Bejaia, avec son titre bien pertinent pour ce conseil d'arbres entoures de plantes de Cyperus, ces gardiens solennels anciens, est une belle introduction pour une conversation attendue depuis longtemps sur l'importance essentielle et urgente de nous rappeller les vraies valeurs dans la vie : notre humanite, qui ne peut pas survivre si on ne comprend pas qu'il n'y pas de " toi " ni " moi ", ni "eux ", il y a seulement "nous ".
Trudi Ralston
La recherche sur le symbolisme des arbres, sur l'espece de plantes aquatiques Cyperus, et sur Cyperus papyrus subespece. hadidii, courtoisie de Wikipedia.
Monday, December 10, 2018
Aussi Longtemps Que La Lumiere Brille : Le Soleil Genereux de Lotfi Bouslah
Dans son livre de 1923 " Le Prophete ", l'auteur et poete libanes - americain Kahlil Gibran dit sur le sujet de parler : " Vous parlez quand vous arretez d'etre en paix avec vos pensees." Peut - etre cela explique le besoin qu'on a comme etres humains de chercher le silence que si souvent la nature nous offre. La nature nous calme, nous parle, sans mots, dans une langue qui encourage, qui guerit, qui comprend. Elle a cette facon de nous inspirer avec sa beaute, sa majeste, sa generosite, sa sagesse. Une ame sensible a ces vertues est capable d'exprimer ces dons a travers l'art.
Le photographe de la nature Lotfi Bouslah de Lolo Pics est une telle ame, un artiste qui comprend la langue du silence. Beni avec une nature genereuse et un coeur ouvert et tolerant, Lotfi Bouslah a partage sur Mer, Montagne, Nature le 8 decembre une photo qui est un example precieux de cette capacite de communiquer l'esprit profond de la nature. La photo est d'un coucher de soleil sur la Plage Azemour a Aokas, Bejaia, avec le titre " Pendant que le soleil me disait au revoir." C'est un tableau emouvant pour le moment choisi, le moment ou la boule de feu blanc du soleil qui glisse derriere l'horizon foncee de l'autre rive, peint l'eau bleue - grise perse de la plage avec une bande verticale et grande de lumiere doree scintillante. Le ciel derriere le soleil blanc est d'un bleu clair, qui enveloppe le soleil dans un geste genereux de la nuit qui s'approche. La lumiere doree sur l'eau de la plage est une presence feerique, on dirait que c'est part de l'esprit du soleil qui flotte comme le texte scintillant d'un ancien poeme sur l'eau nocturne, racontant ses mysteres. Le soleil echange sa chaleur du jour pour le froid et l'incertitude de la nuit noire, mais elle nous laisse le cadeau de sa lumiere doree refletee dans l'eau, assoiffee pour sa beaute et sa passion. C'est une tres belle photo, qui comme est souvent le cas avec les photos de Lotfi Bouslah raconte une histoire qui invite l'imagination et une reverie riche en complexite. On s'imagine la richesse d'un conte de fee seduisant, une histoire de courage et de defis de la part de deux amants separes par les lois de la nature pendant le jour, qui atteignent le pouvoir de la magie avec l'arrivee du coucher du soleil. C'est le conte de fee de la nymphe de l'eau Naiada, qui se baigne chaque soiree dans la lumiere doree pour que son amant le soleil puisse l'emmener avec lui avant l'arrivee de la nuit. Le soleil attend la nymphe avec impatience parceque le ciel exige le regne de la nuit, et le soleil donne autant de sa lumiere a l'eau que possible, le coeur angoisse pour le cas ou la nymphe Naiada n'arrive pas a temps et que la nuit mange ce qui reste de la lumiere ensorcelee. La nymphe sait evader son pretendant jaloux de l'amour qu'il a decouvert elle a pour le soleil, et Naiada arrive juste a temps pour recevoir la lumiere doree et pour se fondre dans les bras du soleil couchant. Une fois que le soleil se leve, la nymphe se trouve seule dans l'eau a nouveau, et attend jusqu'a ce qu'arrivera encore la lumiere doree de son amant le soleil pour mettre le feu a l'eau avec le coucher de soleil suivant, pour ainsi permettre que la nymphe sait s'unir comme la nuit anterieure avec la lumiere doree et la passion coulante scintillante de son amant le soleil. Les couleurs de cette photo sont magnifiques, je pense a la peinture fameuse " Le Baiser " riche en feuille d'or, du peintre autrichien Gustav Klimt. Le reflet de la lumiere du soleil couchant parait etre peint ainsi, en feuille d'or avec une brosse genereuse sur la surface bleue lisse de l'eau. Le soleil reflete dans l'eau a comme son symbolisme plus notable le pouvoir de la purification et de la transformation comme dans mon conte de fee, ou la nymphe de l'eau se transforme et est absorbee dans l'energie et la passion du soleil, et ou leau et le feu s'unissent grace au courage transformatif de l'amour. Les couleurs dominantes de l'or et du bleu - gris perse me font aussi penser a la peinture " Nuit Etoilee " de 1889 du peintre neerlandais Vincent van Gogh ( 1853 - 1890 ). " Nuit Etoilee " aussi est dominee par ces deux couleurs, et est une peinture qui comme la photo de Lotfi Bouslah tremble avec l'agonie et l'extase de la passion. Dans les deux tableaux, la lumiere se bat contre le noir, dans la peinture de Vincent van Gogh, c'est la lune qui se defend contre le noir, dans la photo de Lotfi Bouslah, c'est le soleil qui se precipite pour gagner sur les tenebres. C'est frappant, la similarite en energie et passion dans ces deux exemples : un peintre neerlandais a l'ame de genie torturee, et un photographe de la nature berbere lui aussi a l'ame de genie passionne, separes par plus d'un siecle, mais unis en vision et amour pour leur art.
Aussi longtemps que la lumiere brille parait etre la philosophie de Lotfi Bouslah, qui est l'age de Vincent van Gogh au point culminant de sa creativite artistique. Il y a une conviction tetue dans l'art des deux artistes : c'est l'art qui nous sauve de nous memes, la folie du monde n'arrivera jamais a toucher la purete de l'ame creative qui se rend ame et corps a la passion de sa vision. Pendant sa breve vie torturee, Vincent van Gogh cherchait la paix dans la nature rurale de la Provence en France. L'ame et coeur intense de Lotfi Bouslah trouvent la paix et le sens dans ses photos vibrantes et uniques de la nature genereuse de l'Algerie et sait communiquer cet equilibre artistique et emotionnel qui lui echappait a l'artiste neerlandais. Que le soleil et la lune comme dans un conte de fee heureux soient toujours en accord et continuent a benir l'ame et le coeur creatif vibrant du photographe de la nature.
Trudi Ralston
La recherche sur le symbolisme du soleil sur l'eau, sur le peintre neerlandais Vincent van Gogh et les nymphes de l'eau de la mythologie grecque, courtoisie de Wikipedia.
Le conte de fee de la nymphe de l'eau Naiada, courtoisie de mon imagination litteraire. Le nom Naiada est derive du fait que les nymphes de l'eau dans la mythologie grecque avaient le nom de Naiades.
Le photographe de la nature Lotfi Bouslah de Lolo Pics est une telle ame, un artiste qui comprend la langue du silence. Beni avec une nature genereuse et un coeur ouvert et tolerant, Lotfi Bouslah a partage sur Mer, Montagne, Nature le 8 decembre une photo qui est un example precieux de cette capacite de communiquer l'esprit profond de la nature. La photo est d'un coucher de soleil sur la Plage Azemour a Aokas, Bejaia, avec le titre " Pendant que le soleil me disait au revoir." C'est un tableau emouvant pour le moment choisi, le moment ou la boule de feu blanc du soleil qui glisse derriere l'horizon foncee de l'autre rive, peint l'eau bleue - grise perse de la plage avec une bande verticale et grande de lumiere doree scintillante. Le ciel derriere le soleil blanc est d'un bleu clair, qui enveloppe le soleil dans un geste genereux de la nuit qui s'approche. La lumiere doree sur l'eau de la plage est une presence feerique, on dirait que c'est part de l'esprit du soleil qui flotte comme le texte scintillant d'un ancien poeme sur l'eau nocturne, racontant ses mysteres. Le soleil echange sa chaleur du jour pour le froid et l'incertitude de la nuit noire, mais elle nous laisse le cadeau de sa lumiere doree refletee dans l'eau, assoiffee pour sa beaute et sa passion. C'est une tres belle photo, qui comme est souvent le cas avec les photos de Lotfi Bouslah raconte une histoire qui invite l'imagination et une reverie riche en complexite. On s'imagine la richesse d'un conte de fee seduisant, une histoire de courage et de defis de la part de deux amants separes par les lois de la nature pendant le jour, qui atteignent le pouvoir de la magie avec l'arrivee du coucher du soleil. C'est le conte de fee de la nymphe de l'eau Naiada, qui se baigne chaque soiree dans la lumiere doree pour que son amant le soleil puisse l'emmener avec lui avant l'arrivee de la nuit. Le soleil attend la nymphe avec impatience parceque le ciel exige le regne de la nuit, et le soleil donne autant de sa lumiere a l'eau que possible, le coeur angoisse pour le cas ou la nymphe Naiada n'arrive pas a temps et que la nuit mange ce qui reste de la lumiere ensorcelee. La nymphe sait evader son pretendant jaloux de l'amour qu'il a decouvert elle a pour le soleil, et Naiada arrive juste a temps pour recevoir la lumiere doree et pour se fondre dans les bras du soleil couchant. Une fois que le soleil se leve, la nymphe se trouve seule dans l'eau a nouveau, et attend jusqu'a ce qu'arrivera encore la lumiere doree de son amant le soleil pour mettre le feu a l'eau avec le coucher de soleil suivant, pour ainsi permettre que la nymphe sait s'unir comme la nuit anterieure avec la lumiere doree et la passion coulante scintillante de son amant le soleil. Les couleurs de cette photo sont magnifiques, je pense a la peinture fameuse " Le Baiser " riche en feuille d'or, du peintre autrichien Gustav Klimt. Le reflet de la lumiere du soleil couchant parait etre peint ainsi, en feuille d'or avec une brosse genereuse sur la surface bleue lisse de l'eau. Le soleil reflete dans l'eau a comme son symbolisme plus notable le pouvoir de la purification et de la transformation comme dans mon conte de fee, ou la nymphe de l'eau se transforme et est absorbee dans l'energie et la passion du soleil, et ou leau et le feu s'unissent grace au courage transformatif de l'amour. Les couleurs dominantes de l'or et du bleu - gris perse me font aussi penser a la peinture " Nuit Etoilee " de 1889 du peintre neerlandais Vincent van Gogh ( 1853 - 1890 ). " Nuit Etoilee " aussi est dominee par ces deux couleurs, et est une peinture qui comme la photo de Lotfi Bouslah tremble avec l'agonie et l'extase de la passion. Dans les deux tableaux, la lumiere se bat contre le noir, dans la peinture de Vincent van Gogh, c'est la lune qui se defend contre le noir, dans la photo de Lotfi Bouslah, c'est le soleil qui se precipite pour gagner sur les tenebres. C'est frappant, la similarite en energie et passion dans ces deux exemples : un peintre neerlandais a l'ame de genie torturee, et un photographe de la nature berbere lui aussi a l'ame de genie passionne, separes par plus d'un siecle, mais unis en vision et amour pour leur art.
Aussi longtemps que la lumiere brille parait etre la philosophie de Lotfi Bouslah, qui est l'age de Vincent van Gogh au point culminant de sa creativite artistique. Il y a une conviction tetue dans l'art des deux artistes : c'est l'art qui nous sauve de nous memes, la folie du monde n'arrivera jamais a toucher la purete de l'ame creative qui se rend ame et corps a la passion de sa vision. Pendant sa breve vie torturee, Vincent van Gogh cherchait la paix dans la nature rurale de la Provence en France. L'ame et coeur intense de Lotfi Bouslah trouvent la paix et le sens dans ses photos vibrantes et uniques de la nature genereuse de l'Algerie et sait communiquer cet equilibre artistique et emotionnel qui lui echappait a l'artiste neerlandais. Que le soleil et la lune comme dans un conte de fee heureux soient toujours en accord et continuent a benir l'ame et le coeur creatif vibrant du photographe de la nature.
Trudi Ralston
La recherche sur le symbolisme du soleil sur l'eau, sur le peintre neerlandais Vincent van Gogh et les nymphes de l'eau de la mythologie grecque, courtoisie de Wikipedia.
Le conte de fee de la nymphe de l'eau Naiada, courtoisie de mon imagination litteraire. Le nom Naiada est derive du fait que les nymphes de l'eau dans la mythologie grecque avaient le nom de Naiades.
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